vendredi 25 septembre 2009
Droit d'auteur : Google Livres à la barre en France , Multimédia - Information NouvelObs.com –
http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/medias/multimedia/20090925.ZDN0443/droit_dauteur__google_livres_a_la_barre_en_france.html
jeudi 24 septembre 2009
Accusé par le Seuil, Google se défend de contrefaçon - Le Monde.fr
Accusé par le Seuil, Google se défend de contrefaçon - Le Monde.fr: "Accusé par le Seuil, Google se défend de contrefaçon
24.09.09 | 20h41
Par Clément Guillou
PARIS (Reuters) - Google a assuré à la justice française que sa numérisation massive de livres n'avait d'autre objectif que d'informer, lors du procès pour contrefaçon engagé par les éditions du Seuil.
Au coeur d'une polémique en France sur la numérisation du fonds de la Bibliothèque nationale de France et critiqué par la justice américaine à propos d'un compromis conclu avec des auteurs et éditeurs locaux, le géant d'internet ne convainc pas les éditeurs européens sur son 'Projet Bibliothèque'.
Le groupe La Martinière, qui possède entre autres Le Seuil, troisième éditeur français, mène la fronde du monde du livre en France. En juin 2006, il a porté plainte contre Google France et sa maison-mère californienne pour contrefaçon, rejoint par le Syndicat national des éditeurs (SNE) et la Société des gens de lettre (SGDL), représentant les auteurs.
Google a passé des accords avec plusieurs bibliothèques américaines lui permettant de numériser tous les livres du catalogue, libres de droits mais aussi soumis au droit d'auteur.
Le Seuil lui reproche d'avoir reproduit, conservé et en partie diffusé sur internet plusieurs milliers d'oeuvres sans son accord, et demande 15 millions d'euros de dommages et intérêts.
Les livres des éditeurs n'ayant pas conclu d'accord avec Google ne sont pas consultables sur internet mais figurent dans son moteur de recherche, qui permet d'accéder à trois courtes citations du texte piochées en fonction de la requête.
GOOGLE, LE PETIT VILLAGE ET LES PRÉCIEUSES
Inquiets pour l'un de devoir abandonner une partie de son projet de bibliothèque universelle, pour l'autre de voir éparpillés dans la nature des copies de ses livres, Google et La Martinière se sont pour la première fois, après trois ans de procédure, affrontés sur le fond du dossier.
Pour les plaignants, la numérisation est une reproduction. 'C'est un procédé illégal, dangereux, dommageable et irréversible', a dit maître Yann Colin, avocat de La Martinière.
Google ne jouirait pas non plus du droit de citation car il ne s'inscrit pas dans un contexte littéraire ou didactique mais dans un but commercial.
Le groupe de Mountain View a contesté sans succès en 2006 la compétence du tribunal et demande à présent qu'il se base sur le droit des Etats-Unis, lieu présumé de la numérisation.
Sur le fond, Google ne veut pas passer pour 'le grand méchant loup'.
'Le seul objectif c'est d'encourager et promouvoir la diffusion des livres sur internet', a dit son conseiller juridique Benjamin Du Chaffaut.
Pour l'avocate du groupe californien, Me Alexandra Néri, 'ce n'est pas une bibliothèque, c'est un outil de recherche documentaire'.
'Je ne vous dirais pas que Google est un philanthrope. Mais ce n'est pas parce qu'elle fait des bénéfices que ce qu'elle fait est illégal.'
Pas philanthrope, mais presque. D'ordinaire très offensive, l'avocate de Google s'est faite soudainement pédagogue.
'Prenez un enfant dans un petit village, sans bibliothèque à proximité. S'il veut en savoir plus sur le mouvement des Précieuses, au XVIIe siècle, il va chercher sur Google, juger grâce aux citations si les livres correspondent à la demande de son professeur et savoir dans quelle bibliothèque les trouver.'
Le jugement sera rendu d'ici le 18 décembre.
édité par Yves Clarisse"
24.09.09 | 20h41
Par Clément Guillou
PARIS (Reuters) - Google a assuré à la justice française que sa numérisation massive de livres n'avait d'autre objectif que d'informer, lors du procès pour contrefaçon engagé par les éditions du Seuil.
Au coeur d'une polémique en France sur la numérisation du fonds de la Bibliothèque nationale de France et critiqué par la justice américaine à propos d'un compromis conclu avec des auteurs et éditeurs locaux, le géant d'internet ne convainc pas les éditeurs européens sur son 'Projet Bibliothèque'.
Le groupe La Martinière, qui possède entre autres Le Seuil, troisième éditeur français, mène la fronde du monde du livre en France. En juin 2006, il a porté plainte contre Google France et sa maison-mère californienne pour contrefaçon, rejoint par le Syndicat national des éditeurs (SNE) et la Société des gens de lettre (SGDL), représentant les auteurs.
Google a passé des accords avec plusieurs bibliothèques américaines lui permettant de numériser tous les livres du catalogue, libres de droits mais aussi soumis au droit d'auteur.
Le Seuil lui reproche d'avoir reproduit, conservé et en partie diffusé sur internet plusieurs milliers d'oeuvres sans son accord, et demande 15 millions d'euros de dommages et intérêts.
Les livres des éditeurs n'ayant pas conclu d'accord avec Google ne sont pas consultables sur internet mais figurent dans son moteur de recherche, qui permet d'accéder à trois courtes citations du texte piochées en fonction de la requête.
GOOGLE, LE PETIT VILLAGE ET LES PRÉCIEUSES
Inquiets pour l'un de devoir abandonner une partie de son projet de bibliothèque universelle, pour l'autre de voir éparpillés dans la nature des copies de ses livres, Google et La Martinière se sont pour la première fois, après trois ans de procédure, affrontés sur le fond du dossier.
Pour les plaignants, la numérisation est une reproduction. 'C'est un procédé illégal, dangereux, dommageable et irréversible', a dit maître Yann Colin, avocat de La Martinière.
Google ne jouirait pas non plus du droit de citation car il ne s'inscrit pas dans un contexte littéraire ou didactique mais dans un but commercial.
Le groupe de Mountain View a contesté sans succès en 2006 la compétence du tribunal et demande à présent qu'il se base sur le droit des Etats-Unis, lieu présumé de la numérisation.
Sur le fond, Google ne veut pas passer pour 'le grand méchant loup'.
'Le seul objectif c'est d'encourager et promouvoir la diffusion des livres sur internet', a dit son conseiller juridique Benjamin Du Chaffaut.
Pour l'avocate du groupe californien, Me Alexandra Néri, 'ce n'est pas une bibliothèque, c'est un outil de recherche documentaire'.
'Je ne vous dirais pas que Google est un philanthrope. Mais ce n'est pas parce qu'elle fait des bénéfices que ce qu'elle fait est illégal.'
Pas philanthrope, mais presque. D'ordinaire très offensive, l'avocate de Google s'est faite soudainement pédagogue.
'Prenez un enfant dans un petit village, sans bibliothèque à proximité. S'il veut en savoir plus sur le mouvement des Précieuses, au XVIIe siècle, il va chercher sur Google, juger grâce aux citations si les livres correspondent à la demande de son professeur et savoir dans quelle bibliothèque les trouver.'
Le jugement sera rendu d'ici le 18 décembre.
édité par Yves Clarisse"
lundi 21 septembre 2009
iso2mesh: a Matlab/Octave-based mesh generator: Examples Segmented images
iso2mesh: a Matlab/Octave-based mesh generator: Doc/Examples: "Example Scripts for Using iso2mesh
1. Demonstration for surf2mesh
2. Demonstration 1 for vol2mesh
3. Demonstration 2 for vol2mesh
4. Demonstration 3 for vol2mesh
We provided a couple of example scripts to demonstrate the basic utilities of this toolbox. They can be found at sample/ subdirectory from iso2mesh's installation directory. In this page, we will briefly describe the input/output for each of the example and show you the process of the mesh creation using iso2mesh. Most the examples come from author's realistic research problems. For example, the surf2mesh example came from vessel network modeling; demo1 for vol2mesh came from small animal florescences imaging, and demo3 of vol2mesh originated from a combined image reconstruction of brain functional imaging using MRI, MEG and diffuse optical tomography.
1. Demonstration for surf2mesh
The sample script 'demo_surf2mesh_ex1.m' is to demonstrate how to use surf2mesh for meshing a simple open-ended surface. The surface is saved in 'surfmesh_demo.mat'. Loading this mat file, you will find two variables, f, and v, they record a tube surface mesh. One can view this surface by
trisurf(f,v(:,1),v(:,2),v(:,3)); axis equal;
The surface looks like upload:tube_surf.png
then, we call surf2mesh to produce volumetric mesh from this surface. This includes 3 sub steps
1. in the first step, the fine surface, f and v, are re-sampled to only keep 10% of the original elements
2. because the surface has openings, in the second step, iso2mesh added a cubic frame outside the tube, and punch openings on the bounding box and merge with the tube surface to create a closed surface
3. in the third step, a volumetric mesh is generated within the enclosed volume bounded by the bounding box and the tube.
After step 1, the surface mesh look like upload:tube_surf_sampled.png
After step 2, the surface mesh look like upload:tube_mesh.png
After step 3, the volume mesh look like upload:tube_mesh2.png
I want to mention that at this point, iso2mesh can only mesh surfaces with their edges (borders of the open regions) strictly located within a bounding box surface. It can even handle the complex cases where a opening edge contour located on multiple sides of the bounding box.
2. Demonstration 1 for vol2mesh
The first vol2mesh demonstration is to create an FEM mesh from a CT scan of a rat-head. In this example, the volumetric data is a thresholded CT image of a rat. In a vol2mesh session, we first wrap the volume with a layer of zeros, in order to make the non-zero region close. Then we extract the boundary of the non-zero regions by calling Matlab's isosurface(). The created iso-surface, in the resolution of voxel sizes, will be re-sampled to specified mesh density. Before and after the simplification, we perform a mesh validation and repair process to avoid the appearance of 'non-manifold' nodes. Once the surface mesh is completed, we produce volumetric mesh within the region bounded by the re-sampled surface mesh.
The voxelated rat head binary image looks like upload:mouse_vox.png
The re-sampled rat surface mesh is shown below upload:mouse_mesh.png
The cross-section of the 3D volumetric mesh looks like upload:mouse_head.png
3. Demonstration 2 for vol2mesh
In this example, we try to make a little bit fun using iso2mesh while showing off the extreme flexibility and simplicity of making a complex mesh using this toolbox. We will make a mesh on a slab-shaped object with 'ISO2Mesh' etched on one of the surface, just like the header image of this document showing.
To make this 'object', we first create a black-white image, 'iso2mesh_bar.tif', with an image editor. This image is then read as a 2D array into matlab, we then invert the 0-1 values, and stack it to 30 layers to make a etched patten, then, append another 30 layers of pure 1 image at the end of the stack as the base. Now we have this binary array with etched letter patterns.
The original 2D binary pattern is upload:iso2mesh_bar_2d.png
and the 3D object surface look like upload:iso2mesh_bar_3d_vox_small.png
We pass this array to vol2mesh, and set the surface simplification ratio to 10%, and maximum volume of 100 (in voxel unit), after going through similar processes as in demo1, we will get a volumetric mesh just like what you see from the header bar image.
The generated surface mesh is upload:iso2mesh_bar_1.png
4. Demonstration 3 for vol2mesh
Demonstration 3 is another challenging example showing you how to apply iso2mesh in complex geometries such as head and brain imaging. The 3D head and brain images were extracted from a real head scan from MRI. To save space, we convert them into a binary format as head.tif and brain.tif, respectively, where the brain is simple a segmented subregions from the head scan.
The raw binary head image is shown as upload:head_orig.png
Reading the head binary image into matlab and plot a slice, you will find there are lots of gaps and openings in the volume. As the dimensions of these gaps are close to the sale of a few voxel, it will give iso2mesh a really bad time trying to mesh with these gaps and holes. Therefore, we first perform a binary volume repairing process: deisland3d, to fill the holes and remove the isolated regions form the image. The cleaned up version of the head image can be found at here. The brain volume is clean by itself, so, we do not need to do hole-filling and island-removing.
The head image after hole-filling/island-removing is upload:head_fill.png
In this case, we will make a 2-level surface meshes: we will make 3D FEM mesh to fill both the regions between the head surface and brain surface, as well as the volume within the brain surface, and we want to make sure that the surface representation of the brain appears exactly in the resulting volumetric mesh (i.e., there is a conformal surface layer in the FEM mesh to match the brain surface). To do this, we first add the brain binary image on top of the head image, to create a two level image: voxels with value of 0 represent air, voxels of 1 represent the head region outside the brain, and voxels of value 2 represent the brain region. We pass this 3-valued array, fullimg, to vol2mesh, vol2mesh will first extract the iso-surface the interface between 0 and 1, performing mesh repairing and simplification; and then the interfaces between 1 and 2. After both surfaces complete, we will produce volumetric mesh for this mesh cluster. The resulting mesh will have a exterior surface conforms to the head contour, and an internal surface to conform to the brain surface.
The 3-level head and segmented brain image upload:head_seg.png
The brain surface mesh is upload:head_brain_meshed.png
The head surface mesh is upload:head_surface.png
The produced volumetric mesh cross-cut view 1 upload:head_mesh_cut1.png
The produced volumetric mesh cross-cut view 2 upload:head_mesh_cut2.png"
1. Demonstration for surf2mesh
2. Demonstration 1 for vol2mesh
3. Demonstration 2 for vol2mesh
4. Demonstration 3 for vol2mesh
We provided a couple of example scripts to demonstrate the basic utilities of this toolbox. They can be found at sample/ subdirectory from iso2mesh's installation directory. In this page, we will briefly describe the input/output for each of the example and show you the process of the mesh creation using iso2mesh. Most the examples come from author's realistic research problems. For example, the surf2mesh example came from vessel network modeling; demo1 for vol2mesh came from small animal florescences imaging, and demo3 of vol2mesh originated from a combined image reconstruction of brain functional imaging using MRI, MEG and diffuse optical tomography.
1. Demonstration for surf2mesh
The sample script 'demo_surf2mesh_ex1.m' is to demonstrate how to use surf2mesh for meshing a simple open-ended surface. The surface is saved in 'surfmesh_demo.mat'. Loading this mat file, you will find two variables, f, and v, they record a tube surface mesh. One can view this surface by
trisurf(f,v(:,1),v(:,2),v(:,3)); axis equal;
The surface looks like upload:tube_surf.png
then, we call surf2mesh to produce volumetric mesh from this surface. This includes 3 sub steps
1. in the first step, the fine surface, f and v, are re-sampled to only keep 10% of the original elements
2. because the surface has openings, in the second step, iso2mesh added a cubic frame outside the tube, and punch openings on the bounding box and merge with the tube surface to create a closed surface
3. in the third step, a volumetric mesh is generated within the enclosed volume bounded by the bounding box and the tube.
After step 1, the surface mesh look like upload:tube_surf_sampled.png
After step 2, the surface mesh look like upload:tube_mesh.png
After step 3, the volume mesh look like upload:tube_mesh2.png
I want to mention that at this point, iso2mesh can only mesh surfaces with their edges (borders of the open regions) strictly located within a bounding box surface. It can even handle the complex cases where a opening edge contour located on multiple sides of the bounding box.
2. Demonstration 1 for vol2mesh
The first vol2mesh demonstration is to create an FEM mesh from a CT scan of a rat-head. In this example, the volumetric data is a thresholded CT image of a rat. In a vol2mesh session, we first wrap the volume with a layer of zeros, in order to make the non-zero region close. Then we extract the boundary of the non-zero regions by calling Matlab's isosurface(). The created iso-surface, in the resolution of voxel sizes, will be re-sampled to specified mesh density. Before and after the simplification, we perform a mesh validation and repair process to avoid the appearance of 'non-manifold' nodes. Once the surface mesh is completed, we produce volumetric mesh within the region bounded by the re-sampled surface mesh.
The voxelated rat head binary image looks like upload:mouse_vox.png
The re-sampled rat surface mesh is shown below upload:mouse_mesh.png
The cross-section of the 3D volumetric mesh looks like upload:mouse_head.png
3. Demonstration 2 for vol2mesh
In this example, we try to make a little bit fun using iso2mesh while showing off the extreme flexibility and simplicity of making a complex mesh using this toolbox. We will make a mesh on a slab-shaped object with 'ISO2Mesh' etched on one of the surface, just like the header image of this document showing.
To make this 'object', we first create a black-white image, 'iso2mesh_bar.tif', with an image editor. This image is then read as a 2D array into matlab, we then invert the 0-1 values, and stack it to 30 layers to make a etched patten, then, append another 30 layers of pure 1 image at the end of the stack as the base. Now we have this binary array with etched letter patterns.
The original 2D binary pattern is upload:iso2mesh_bar_2d.png
and the 3D object surface look like upload:iso2mesh_bar_3d_vox_small.png
We pass this array to vol2mesh, and set the surface simplification ratio to 10%, and maximum volume of 100 (in voxel unit), after going through similar processes as in demo1, we will get a volumetric mesh just like what you see from the header bar image.
The generated surface mesh is upload:iso2mesh_bar_1.png
4. Demonstration 3 for vol2mesh
Demonstration 3 is another challenging example showing you how to apply iso2mesh in complex geometries such as head and brain imaging. The 3D head and brain images were extracted from a real head scan from MRI. To save space, we convert them into a binary format as head.tif and brain.tif, respectively, where the brain is simple a segmented subregions from the head scan.
The raw binary head image is shown as upload:head_orig.png
Reading the head binary image into matlab and plot a slice, you will find there are lots of gaps and openings in the volume. As the dimensions of these gaps are close to the sale of a few voxel, it will give iso2mesh a really bad time trying to mesh with these gaps and holes. Therefore, we first perform a binary volume repairing process: deisland3d, to fill the holes and remove the isolated regions form the image. The cleaned up version of the head image can be found at here. The brain volume is clean by itself, so, we do not need to do hole-filling and island-removing.
The head image after hole-filling/island-removing is upload:head_fill.png
In this case, we will make a 2-level surface meshes: we will make 3D FEM mesh to fill both the regions between the head surface and brain surface, as well as the volume within the brain surface, and we want to make sure that the surface representation of the brain appears exactly in the resulting volumetric mesh (i.e., there is a conformal surface layer in the FEM mesh to match the brain surface). To do this, we first add the brain binary image on top of the head image, to create a two level image: voxels with value of 0 represent air, voxels of 1 represent the head region outside the brain, and voxels of value 2 represent the brain region. We pass this 3-valued array, fullimg, to vol2mesh, vol2mesh will first extract the iso-surface the interface between 0 and 1, performing mesh repairing and simplification; and then the interfaces between 1 and 2. After both surfaces complete, we will produce volumetric mesh for this mesh cluster. The resulting mesh will have a exterior surface conforms to the head contour, and an internal surface to conform to the brain surface.
The 3-level head and segmented brain image upload:head_seg.png
The brain surface mesh is upload:head_brain_meshed.png
The head surface mesh is upload:head_surface.png
The produced volumetric mesh cross-cut view 1 upload:head_mesh_cut1.png
The produced volumetric mesh cross-cut view 2 upload:head_mesh_cut2.png"
MATLAB Central - How to create 3D mesh model?
MATLAB Central - Newsreader - How to create 3D mesh model?: "Thread Subject: How to create 3D mesh model?
Subject: How to create 3D mesh model?
From: Tong
Date: 14 Jul, 2009 19:55:03
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I have segmented meniscus images from MRI that is created in about 3mm slices. How would I combine these slices together to create a 3D model of the meniscus?
Subject: How to create 3D mesh model?
From: Luigi Giaccari
Date: 14 Jul, 2009 20:49:03
Message: 2 of 6
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Please send me that models of yours, I am plannig to build a surface recostructor for sliced cloud. Send to : giaccariluigi@msn.com
In the mean time look for:
http://www.mathworks.com/matlabcentral/fileexchange/22185
http://giaccariluigi.altervista.org/blog/
and related
Subject: How to create 3D mesh model?
From: Brad Henrie
Date: 17 Jul, 2009 21:45:18
Message: 3 of 6
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'Tong ' <celticbaseball06@gmail.com> wrote in message <h3inqn$ni5$1@fred.mathworks.com>...
> I have segmented meniscus images from MRI that is created in about 3mm slices. How would I combine these slices together to create a 3D model of the meniscus?
First place all of your slices into a 3-d matrix. This will give you a cube of data. You can then view it from multiple planes by using this format variable(:,:,a) where a is the slice position in a direction directly into your displayed image. Using the same format you can display other planes variable(:,a,:). Converting your image to greyscale will allow you to display it using implay.
I'm sure that since you are working with MRI you have access to the image processing toolbox.
While viewing images in a plane where the pixels are not square you need to scale your image. (if you have a 3x3x5 voxel and display the 3x5 pixel representation) Also remember your slice separation if you don't have 3-d k-space.
Subject: How to create 3D mesh model?
From: Image Analyst
Date: 18 Jul, 2009 04:02:35
Message: 4 of 6
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'Tong ' <celticbaseball06@gmail.com> wrote in message <h3inqn$ni5$1@fred.mathworks.com>...
> I have segmented meniscus images from MRI that is created in about 3mm slices. How would I combine these slices together to create a 3D model of the meniscus?
----------------------------------------
I'm not sure what you mean by 'model,' but you can combine 2D images together to form a 3D image by using the cat(3, slice1, slice2, slice3, slice4, slice5,......) function.
Subject: How to create 3D mesh model?
From: Tong
Date: 20 Jul, 2009 18:36:02
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'Image Analyst' <imageanalyst@mailinator.com> wrote in message <h3rhgr$of5$1@fred.mathworks.com>...
> 'Tong ' <celticbaseball06@gmail.com> wrote in message <h3inqn$ni5$1@fred.mathworks.com>...
> > I have segmented meniscus images from MRI that is created in about 3mm slices. How would I combine these slices together to create a 3D model of the meniscus?
> ----------------------------------------
> I'm not sure what you mean by 'model,' but you can combine 2D images together to form a 3D image by using the cat(3, slice1, slice2, slice3, slice4, slice5,......) function.
What about when I am using regions of interest, not images?
Subject: How to create 3D mesh model?
From: fabio freschi
Date: 20 Jul, 2009 21:06:01
Message: 6 of 6
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you can try iso2mesh in FE
fabio"
Subject: How to create 3D mesh model?
From: Tong
Date: 14 Jul, 2009 19:55:03
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I have segmented meniscus images from MRI that is created in about 3mm slices. How would I combine these slices together to create a 3D model of the meniscus?
Subject: How to create 3D mesh model?
From: Luigi Giaccari
Date: 14 Jul, 2009 20:49:03
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Please send me that models of yours, I am plannig to build a surface recostructor for sliced cloud. Send to : giaccariluigi@msn.com
In the mean time look for:
http://www.mathworks.com/matlabcentral/fileexchange/22185
http://giaccariluigi.altervista.org/blog/
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From: Brad Henrie
Date: 17 Jul, 2009 21:45:18
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'Tong ' <celticbaseball06@gmail.com> wrote in message <h3inqn$ni5$1@fred.mathworks.com>...
> I have segmented meniscus images from MRI that is created in about 3mm slices. How would I combine these slices together to create a 3D model of the meniscus?
First place all of your slices into a 3-d matrix. This will give you a cube of data. You can then view it from multiple planes by using this format variable(:,:,a) where a is the slice position in a direction directly into your displayed image. Using the same format you can display other planes variable(:,a,:). Converting your image to greyscale will allow you to display it using implay.
I'm sure that since you are working with MRI you have access to the image processing toolbox.
While viewing images in a plane where the pixels are not square you need to scale your image. (if you have a 3x3x5 voxel and display the 3x5 pixel representation) Also remember your slice separation if you don't have 3-d k-space.
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From: Image Analyst
Date: 18 Jul, 2009 04:02:35
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'Tong ' <celticbaseball06@gmail.com> wrote in message <h3inqn$ni5$1@fred.mathworks.com>...
> I have segmented meniscus images from MRI that is created in about 3mm slices. How would I combine these slices together to create a 3D model of the meniscus?
----------------------------------------
I'm not sure what you mean by 'model,' but you can combine 2D images together to form a 3D image by using the cat(3, slice1, slice2, slice3, slice4, slice5,......) function.
Subject: How to create 3D mesh model?
From: Tong
Date: 20 Jul, 2009 18:36:02
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'Image Analyst' <imageanalyst@mailinator.com> wrote in message <h3rhgr$of5$1@fred.mathworks.com>...
> 'Tong ' <celticbaseball06@gmail.com> wrote in message <h3inqn$ni5$1@fred.mathworks.com>...
> > I have segmented meniscus images from MRI that is created in about 3mm slices. How would I combine these slices together to create a 3D model of the meniscus?
> ----------------------------------------
> I'm not sure what you mean by 'model,' but you can combine 2D images together to form a 3D image by using the cat(3, slice1, slice2, slice3, slice4, slice5,......) function.
What about when I am using regions of interest, not images?
Subject: How to create 3D mesh model?
From: fabio freschi
Date: 20 Jul, 2009 21:06:01
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you can try iso2mesh in FE
fabio"
dimanche 20 septembre 2009
Packaging crx creating plug-in google chrome
Packaging: "Extensions are packaged as signed zip files with the file extension 'crx' (for example, myextension.crx). Each extension has its own unique key pair. The public key is used as the unique identifier for the extension. The private key is kept private and used to sign each version of the extension.
Creating a package
To package an extension:
1. Bring up the Extensions management page by going to this URL:
chrome://extensions
2. Click the Pack extension button. A dialog appears.
3. In the Extension root directory field, specify the path to the extension's folder — for example, c:\myext. (Ignore the other field; you don't specify a private key file the first time you package a particular extension.)
4. Click OK. The packager creates two files: a .crx file, which is the actual extension that can be installed, and a .pem file, which contains the private key.
Do not lose the private key! Keep the .pem file secret and in a safe place. You'll need it later if you want to do any of the following:
* Update the extension
* Import the extension into the extensions gallery, once the gallery becomes available
If the extension is successfully packaged, you'll see a dialog like this that tells you where to find the .crx and .pem files:
Updating a package
To create an updated version of your extension:
1. Increase the version number in manifest.json.
2. Bring up the Extensions management page by going to this URL: chrome://extensions
3. Click the Pack extension button. A dialog appears.
4. In the Extension root directory field, specify the path to the extension's folder — for example, c:\myext.
5. In the Private key file field, specify the location of the already generated .pem file for this extension — for example, c:\myext.pem.
6. Click OK.
If the updated extension is successfully packaged, you'll see a dialog like this:
Packaging at the command line
Another way to package extensions is by invoking chrome.exe at the command line. Use the --pack-extension flag to specify the location of the extension's folder. Use --pack-extension-key to specify the location of the extension's private key file. For example:
chrome.exe --pack-extension=c:\myext --pack-extension-key=c:\myext.pem
To suppress the dialog, add --no-message-box to the command."
Creating a package
To package an extension:
1. Bring up the Extensions management page by going to this URL:
chrome://extensions
2. Click the Pack extension button. A dialog appears.
3. In the Extension root directory field, specify the path to the extension's folder — for example, c:\myext. (Ignore the other field; you don't specify a private key file the first time you package a particular extension.)
4. Click OK. The packager creates two files: a .crx file, which is the actual extension that can be installed, and a .pem file, which contains the private key.
Do not lose the private key! Keep the .pem file secret and in a safe place. You'll need it later if you want to do any of the following:
* Update the extension
* Import the extension into the extensions gallery, once the gallery becomes available
If the extension is successfully packaged, you'll see a dialog like this that tells you where to find the .crx and .pem files:
Updating a package
To create an updated version of your extension:
1. Increase the version number in manifest.json.
2. Bring up the Extensions management page by going to this URL: chrome://extensions
3. Click the Pack extension button. A dialog appears.
4. In the Extension root directory field, specify the path to the extension's folder — for example, c:\myext.
5. In the Private key file field, specify the location of the already generated .pem file for this extension — for example, c:\myext.pem.
6. Click OK.
If the updated extension is successfully packaged, you'll see a dialog like this:
Packaging at the command line
Another way to package extensions is by invoking chrome.exe at the command line. Use the --pack-extension flag to specify the location of the extension's folder. Use --pack-extension-key to specify the location of the extension's private key file. For example:
chrome.exe --pack-extension=c:\myext --pack-extension-key=c:\myext.pem
To suppress the dialog, add --no-message-box to the command."
Installing multiple Chrome extensions - Google Chrome Forums
Installing multiple Chrome extensions - Google Chrome Forums: "Or you can simply run it from the Windows console using the exact syntax they suggest"
Installing multiple Chrome extensions - create a crx
Installing multiple Chrome extensions - Google Chrome Forums: "to create a crx.
It requires using the python script posted here:
http://dev.chromium.org/developers/d...ions/packaging
python 2.6 is any easy download and install. Easiest way to run the script is to open it in IDLE (try right clicking on .py script), launch the python shell from the IDLE run menu then use the command they list on the website. Tricky part is you must put parenthesis around your paths and use double backslashes ie. c:\\path\\here.crx"
It requires using the python script posted here:
http://dev.chromium.org/developers/d...ions/packaging
python 2.6 is any easy download and install. Easiest way to run the script is to open it in IDLE (try right clicking on .py script), launch the python shell from the IDLE run menu then use the command they list on the website. Tricky part is you must put parenthesis around your paths and use double backslashes ie. c:\\path\\here.crx"
Chrome Extensions, Bookmarklets & Userscripts Compilation - Google Chrome Forums
Chrome Extensions, Bookmarklets & Userscripts Compilation - Google Chrome Forums: "Hey guys, here is a compilation of all the Chrome Extensions, Bookmarklets and Userscripts found on Chrome Plugins or on their official sites.
Extensions
How to create .crx files (How to package up extensions so you can distribute them and install them)
Flashblock (Blocks all Flash content from loading. It then leaves placeholders on the webpage that allows you to view the Flash content)
AdSweep (Hides advertising from all web pages and removes the space that it took)
Adblock+ (Hides advertising from all web pages with the press of a button)
Customize your new tab (Allows you to customize Chrome's default new tab)
Chrome Extension Manager (An extension manager for Chrome)
No Speed Dial (Replaces the New Tab page with a blank page)
Blackcoil's YouTube Downloader (Allows you to download YouTube videos with other functions. Read more here)
Extensible Video Downloader (Allows you to download .flv files from video sites like YouTube and Break)
Google Reader Extension (Displays the unread post count from Google Reader onto your bookmarks bar)
GMail as default webmail client (Sets Gmail as default webmail client on Chrome)
Cleeki (Adds similar but superior functions than the IE8 accelerators)
PageRank Status (Views the PageRank status of the current website and shows it in a bar at the bottom)
GBX (Deletes your existing Chrome bookmarks and replaces them with your Google Bookmarks in order to share them across browsers)
AniWeather (Shows the weather in vivid animations from over 70,000 places from around the world)
Bookmarklets
SquareFree Bookmarklets (Website full of useful Bookmarklets)
Useful Bookmarklets and Search Engines (A bunch of bookmarklets compiled by Tiby312, from Search Engines to Page Information)
McAfee Site Advisor (The title says it all )
Search in GMaps (Searches the selected address on Google Maps)
Instant Page Translator (Translates the page to any language in one click)
Bookmarklet for PageRank (Bookmarklet for PageRank)
Wiki-it! (Allows you to quickly reach the wikipedia page of any given subject)
Download Youtube videos (Allows you to download Youtube videos)
Black Text, White Pages (Turns all text black and the page to white in 1 click)
Scrolling Bookmarklets (Slowly & Automaticly scrolls down the page for you)
YouSearch (Allows you to search using any search engine by just clicking the bookmarklet)
Page Editor (Allows you to modify any site page)
Show Hidden Fields (Bookmarklet that lets you see hidden fields)
Screenshots (Bookmarklet created by Firehalk that lets you take screenshots of a page at it's click using Aviary.com's screenshot feature)
Userscripts
Userscripts.org (Website full of useful Userscripts)
AdSweep (Hides advertising from all web pages and removes the space that it took)
Mouse Gesture (A mouse gesture userscript)
No Speed Dial (Replaces the New Tab page with a blank page)
Blackcoil's YouTube Downloader (Allows you to download YouTube videos with other functions. Read more here)
Flashblock (Blocks all Flash content from loading. It then leaves placeholders on the webpage that allows you to view the Flash content)
GMail as default webmail client (Sets Gmail as default webmail client on Chrome)
oAutoPagerize (Automatically loads and inserts the next page into current page once you reach the bottom of the page)
Mouse Rocker (Adds mouse rocker navigation gestures to Chrome using a UserScript)
Adblock+ (Hides advertising from all web pages with the press of a button)
Deviant Enlarge (Fullscreen view of images when you hover over their thumbnails on DeviantART.com)
FileSearch4Google (Adds the 'Search File' button to Google Search)
Google Image Relinker Mod (Makes thumbnails in Google Images redirect to the images, with options to view the page or view the page in the Google frame)
Word Count (Shows a handy word count below textarea fields)
Youtube BBCode Button (An alternative way to post links to Youtube videos when forums won't let you post the videos themselves. Automatically adds a video description and thumbnails for forum posting)
Loopy for Youtube (Loops entire Youtube videos over and over)
Applications
UnChrome (Removes the unique ID found in Chrome so your browser can't be identified)
Rocker for Chrome (Adds mouse rocker navigation gestures to Chrome)
Chrome Theme Creator (Allows you to edit Chrome Theme .dlls)
Chrome ExtensionManager (Lets you manage Chrome extensions [disable, remove, browse,..] and do other useful things, with a nice looking GUI)
Other
Dial alteranative websites (These websites allow you to modify, add or remove speed dials from a page in any web browser. We have talked about it before here and here)
http://www.only2clicks.com/
http://www.safaridial.com/
http://www.speedymarks.com/
http://www.tizmos.com/
http://www.hyperigo.com/
http://www.myclusta.com/
http://www.3x3links.com/
http://www.homepagestartup.com/"
Extensions
How to create .crx files (How to package up extensions so you can distribute them and install them)
Flashblock (Blocks all Flash content from loading. It then leaves placeholders on the webpage that allows you to view the Flash content)
AdSweep (Hides advertising from all web pages and removes the space that it took)
Adblock+ (Hides advertising from all web pages with the press of a button)
Customize your new tab (Allows you to customize Chrome's default new tab)
Chrome Extension Manager (An extension manager for Chrome)
No Speed Dial (Replaces the New Tab page with a blank page)
Blackcoil's YouTube Downloader (Allows you to download YouTube videos with other functions. Read more here)
Extensible Video Downloader (Allows you to download .flv files from video sites like YouTube and Break)
Google Reader Extension (Displays the unread post count from Google Reader onto your bookmarks bar)
GMail as default webmail client (Sets Gmail as default webmail client on Chrome)
Cleeki (Adds similar but superior functions than the IE8 accelerators)
PageRank Status (Views the PageRank status of the current website and shows it in a bar at the bottom)
GBX (Deletes your existing Chrome bookmarks and replaces them with your Google Bookmarks in order to share them across browsers)
AniWeather (Shows the weather in vivid animations from over 70,000 places from around the world)
Bookmarklets
SquareFree Bookmarklets (Website full of useful Bookmarklets)
Useful Bookmarklets and Search Engines (A bunch of bookmarklets compiled by Tiby312, from Search Engines to Page Information)
McAfee Site Advisor (The title says it all )
Search in GMaps (Searches the selected address on Google Maps)
Instant Page Translator (Translates the page to any language in one click)
Bookmarklet for PageRank (Bookmarklet for PageRank)
Wiki-it! (Allows you to quickly reach the wikipedia page of any given subject)
Download Youtube videos (Allows you to download Youtube videos)
Black Text, White Pages (Turns all text black and the page to white in 1 click)
Scrolling Bookmarklets (Slowly & Automaticly scrolls down the page for you)
YouSearch (Allows you to search using any search engine by just clicking the bookmarklet)
Page Editor (Allows you to modify any site page)
Show Hidden Fields (Bookmarklet that lets you see hidden fields)
Screenshots (Bookmarklet created by Firehalk that lets you take screenshots of a page at it's click using Aviary.com's screenshot feature)
Userscripts
Userscripts.org (Website full of useful Userscripts)
AdSweep (Hides advertising from all web pages and removes the space that it took)
Mouse Gesture (A mouse gesture userscript)
No Speed Dial (Replaces the New Tab page with a blank page)
Blackcoil's YouTube Downloader (Allows you to download YouTube videos with other functions. Read more here)
Flashblock (Blocks all Flash content from loading. It then leaves placeholders on the webpage that allows you to view the Flash content)
GMail as default webmail client (Sets Gmail as default webmail client on Chrome)
oAutoPagerize (Automatically loads and inserts the next page into current page once you reach the bottom of the page)
Mouse Rocker (Adds mouse rocker navigation gestures to Chrome using a UserScript)
Adblock+ (Hides advertising from all web pages with the press of a button)
Deviant Enlarge (Fullscreen view of images when you hover over their thumbnails on DeviantART.com)
FileSearch4Google (Adds the 'Search File' button to Google Search)
Google Image Relinker Mod (Makes thumbnails in Google Images redirect to the images, with options to view the page or view the page in the Google frame)
Word Count (Shows a handy word count below textarea fields)
Youtube BBCode Button (An alternative way to post links to Youtube videos when forums won't let you post the videos themselves. Automatically adds a video description and thumbnails for forum posting)
Loopy for Youtube (Loops entire Youtube videos over and over)
Applications
UnChrome (Removes the unique ID found in Chrome so your browser can't be identified)
Rocker for Chrome (Adds mouse rocker navigation gestures to Chrome)
Chrome Theme Creator (Allows you to edit Chrome Theme .dlls)
Chrome ExtensionManager (Lets you manage Chrome extensions [disable, remove, browse,..] and do other useful things, with a nice looking GUI)
Other
Dial alteranative websites (These websites allow you to modify, add or remove speed dials from a page in any web browser. We have talked about it before here and here)
http://www.only2clicks.com/
http://www.safaridial.com/
http://www.speedymarks.com/
http://www.tizmos.com/
http://www.hyperigo.com/
http://www.myclusta.com/
http://www.3x3links.com/
http://www.homepagestartup.com/"
Google Chrome -i don't need AdBlock with privoxy
Google Chrome Extensions - Chrome Plugins: "Browsing is horrible without AdBlock Plus. No matter how good the browser is.
you could try using Privoxy or a hosts file based adblocker like the ‘mvps.org’ host file. Some folks are using privoxy and are quite happy so far – http://www.fritscher.ch/blog/2008/09/03/google-chrome-adblock-with-privoxy/
Both work quite well but since even with Firefox I used the mvps host file and not adblock I don’t know how far they can be a replacement."
you could try using Privoxy or a hosts file based adblocker like the ‘mvps.org’ host file. Some folks are using privoxy and are quite happy so far – http://www.fritscher.ch/blog/2008/09/03/google-chrome-adblock-with-privoxy/
Both work quite well but since even with Firefox I used the mvps host file and not adblock I don’t know how far they can be a replacement."
Google Chrome lauch with -disable-javascript
Google Chrome Extensions - Chrome Plugins: "Another great tip I discovered online. You can disable javascript by launching chrome with the ‘-disable-javascript’ parameter like this.
“C:\Documents and Settings\%username%\Local Settings\Application Data\Google\Chrome” -disable-javascript
(the path will be different for Vista)
A few others too:
-disable-images
-disable-java
-disable-plugins
-disable-popup-blocking
-start-maximized"
“C:\Documents and Settings\%username%\Local Settings\Application Data\Google\Chrome” -disable-javascript
(the path will be different for Vista)
A few others too:
-disable-images
-disable-java
-disable-plugins
-disable-popup-blocking
-start-maximized"
Google Chrome Extensions - google bookmark drag
Google Chrome Extensions - Chrome Plugins: "Since you can use both Google bookmarks and delicious ‘bookmarklets’ (available at ‘del.icio.us/help/buttons’ and at the Google bookmarks site/help bookmarks from within Chrome) by dragging them to the ‘Chrome bookmarks bar’ maybe this should be more widely publicized since this is one thing everyone is complaining about apart from adblock which you can solve somewhat with privoxy or the mvps.org hosts file."
Google Chrome Extensions - Chrome Plugins
Google Chrome Extensions - Chrome Plugins: "Google Chrome Extensions
With the Beta release of Chrome, many people are looking to download Google Chrome Extensions and we have had several people email today wanting to know “Where are the Chrome Extensions or Addons”, but as you can see by the list on the right there are none and unfortunately they don’t currently exist.
Chrome does have Plug-Ins which includes programs such as Java from Sun Microsystems, Flash from Adobe and Silverlight from Microsoft however these are slightly different technology than Extensions which add new features and functionality. Many people rely on extensions such as Firebug, Greasemonkey, AdBlock Plus, NoScript and others which is preventing users from switching to Chrome as their default browser. Google is aware of this and does plan on adding Extension abilities and an API to enable developers to create new functionality for Chrome.
The initial Beta release of Google Chrome is more of a “Core Browser” release to focus on bugs and to get the base product functioning flawlessly before starting to extend functionality.
Development and the release of an API is high on the priority list for Chrome."
With the Beta release of Chrome, many people are looking to download Google Chrome Extensions and we have had several people email today wanting to know “Where are the Chrome Extensions or Addons”, but as you can see by the list on the right there are none and unfortunately they don’t currently exist.
Chrome does have Plug-Ins which includes programs such as Java from Sun Microsystems, Flash from Adobe and Silverlight from Microsoft however these are slightly different technology than Extensions which add new features and functionality. Many people rely on extensions such as Firebug, Greasemonkey, AdBlock Plus, NoScript and others which is preventing users from switching to Chrome as their default browser. Google is aware of this and does plan on adding Extension abilities and an API to enable developers to create new functionality for Chrome.
The initial Beta release of Google Chrome is more of a “Core Browser” release to focus on bugs and to get the base product functioning flawlessly before starting to extend functionality.
Development and the release of an API is high on the priority list for Chrome."
Zorgloob: avril 2009 - Tout savoir sur Google... gmail insertion image
Zorgloob: avril 2009 - Tout savoir sur Google... ou presque !: "Une nouveauté de Gmail Labs qui va faire plaisir à beaucoup de monde.
Il était temps. C'est par ces mots que commence le message posté cette nuit par l'équipe de Gmail. Grâce à une option à activer dans Gmail Labs, il est désormais possible d'ajouter des images dans les e-mails HTML. Cette option était demandée de longue date."
Il était temps. C'est par ces mots que commence le message posté cette nuit par l'équipe de Gmail. Grâce à une option à activer dans Gmail Labs, il est désormais possible d'ajouter des images dans les e-mails HTML. Cette option était demandée de longue date."
Zorgloob: avril 2009 - Tout savoir sur Google... news timeline
Zorgloob: avril 2009 - Tout savoir sur Google... ou presque !: "Suite à l'introduction hier du nouveau Google Labs, une expérimentation pour Google News a été lancée. Il s'agit de Google News Timeline. Cette expérimentation vous permet de visualiser des nouvelles, des vidéos, des photos, des articles wikipédia ou des magasines sur une échelle de temps allant des jours aux décénies.
Un exemple avec les prix nobels de physique, Obama ou la crise financière. Vous pouvez moduler la requête avec les différents menus déroulant pour ajuster le type de contenu, la largeur de colonne et les périodes d'affichage. Le tout peut être sauvegardé si vous êtes connecté avec votre compte Google pour pouvoir visualiser une vue personnalisée des actualités chaque jour."
Un exemple avec les prix nobels de physique, Obama ou la crise financière. Vous pouvez moduler la requête avec les différents menus déroulant pour ajuster le type de contenu, la largeur de colonne et les périodes d'affichage. Le tout peut être sauvegardé si vous êtes connecté avec votre compte Google pour pouvoir visualiser une vue personnalisée des actualités chaque jour."
Zorgloob: avril 2009 - Tout savoir sur Google... et ses comptes sur twitter
Zorgloob: avril 2009 - Tout savoir sur Google... ou presque !: "Ils ont mis du temps à y aller, mais comme toujours chez Google, le rythme s'accélère ensuite et vous pouvez désormais consulter les informations en provenance des différentes équipes de Googlers.
Voici la liste des profils Twitter de Google :
@google - Google
@youtube - Youtube
@googledata - Google Data Api
@googleio - Google I/O
@googlewebmaster - Google Webmastercentral Blog
@app_engine - Google App Engine
@adwordshelper - Google Adwords
@sketchup - Google Sketchup
@googleatwork - Google Enterprise
@blogger - Blogger
@googlereader - Google Reader
@googleapps - Google Apps
@googleprofiles - Google Profiles
@adsense - Google AdSense
@3dwh - Google 3D Warehouse
@googledownunder - Google Australia and NZ
@googlestudents - Google Students
@igoogle - iGoogle
@googlemaps - Google Maps
@googletalks - Google Youtube Channel
@googlenews - Google News
@googleresearch - Google Research
Si le coeur vous en dit, vous pouvez également suivre quelques Googlers connus comme Matt Cutts, Chris Dibona, Jeff Huber ou David Fischer, mais là je vous laisse compléter la liste...
Edition du 29/4 par Kendos :
Et encore 3 autres... Thanks Tony...
@googleimages - Google Images Search
@googlevoice - Google Voice
@googlewebspam - Google Webspam"
Voici la liste des profils Twitter de Google :
@google - Google
@youtube - Youtube
@googledata - Google Data Api
@googleio - Google I/O
@googlewebmaster - Google Webmastercentral Blog
@app_engine - Google App Engine
@adwordshelper - Google Adwords
@sketchup - Google Sketchup
@googleatwork - Google Enterprise
@blogger - Blogger
@googlereader - Google Reader
@googleapps - Google Apps
@googleprofiles - Google Profiles
@adsense - Google AdSense
@3dwh - Google 3D Warehouse
@googledownunder - Google Australia and NZ
@googlestudents - Google Students
@igoogle - iGoogle
@googlemaps - Google Maps
@googletalks - Google Youtube Channel
@googlenews - Google News
@googleresearch - Google Research
Si le coeur vous en dit, vous pouvez également suivre quelques Googlers connus comme Matt Cutts, Chris Dibona, Jeff Huber ou David Fischer, mais là je vous laisse compléter la liste...
Edition du 29/4 par Kendos :
Et encore 3 autres... Thanks Tony...
@googleimages - Google Images Search
@googlevoice - Google Voice
@googlewebspam - Google Webspam"
Zorgloob: mai 2009 - Tout savoir sur Google... sky (les étoiles)
Zorgloob: mai 2009 - Tout savoir sur Google... ou presque !: "Vous connaissiez Google Sky, découvrez maintenant Google Sky Map, la nouvelle application pour téléphone Android permettant de parcourir et de découvrir les étoiles en pointant simplement son téléphone vers le ciel...
Pour réussir cette prouesse, Google utilise le compas numérique, l'accéléromètre et le GPS des terminaux Android pour produire une vue du ciel changeante avec les mouvements de la main et la direction pointée par le téléphone... Des fonctions de recherche et de navigation classiques sont également présentes dans l'application..."
Pour réussir cette prouesse, Google utilise le compas numérique, l'accéléromètre et le GPS des terminaux Android pour produire une vue du ciel changeante avec les mouvements de la main et la direction pointée par le téléphone... Des fonctions de recherche et de navigation classiques sont également présentes dans l'application..."
Zorgloob: mai 2009 - Tout savoir sur Google... wave wavelet blip
Zorgloob: mai 2009 - Tout savoir sur Google... ou presque !: "Aujourd'hui à la conférence Google I/O (celle ou les participants se sont vu offrir un téléphone HTC Magic, aussi nommé Google Ion, gratuitement), une annonce de Google n'est pas passée inaperçue. Google veut avec Wave (vague en anglais) révolutionner la façon dont on communique sur le net. L'ambition est immense, le projet également, mais l'enthousiasme généré par les développeurs suite à cette annonce donne de grand espoirs. Plus une communauté est active sur un projet, plus celui-ci peut réussir. Google a testé cet effet avec Android, et veut maintenant reproduire le schéma.
Qu'est ce que Google Wave ?
Google Wave consiste en un lieu centralisé pour toutes vos communications électronique. Google Wave introduit de nouveaux termes pour exprimer des notions jusqu'ici peu utilisés dans les conversations électroniques.
1. Wave (vague) : une vague représente un flot de communication, avec plusieurs personnes humaines et des robots, se déroulant sur une période de temps. Ce flot de communication est lancé par un participant, à destinations d'autres participants (humains ou non). Les moyens de communication peuvent être de tous types : texte riche, images, documents, vidéos, cartes, évènements de calendrier, gadgets... Une vague est similaire aux Thread (discussions) des forums et de Gmail, aux conversations en messagerie instantanée etc.
2. Wavelet (vaguelette) : une vaguelette est une partie de vague qui peut être restreinte à certains utilisateurs. Par exemple, lors d'une discussion entre 5 amis, un couple d'ami peut vouloir discuter du même sujet mais sans que les autres n'accèdent à votre discussion. En créant une vaguelette privée, les deux personnes peuvent communiquer (en privé) tout en gardant le reste de la discussion (publique) disponible...
3. Blip : un blip est la plus petite unité de communication d'une vague : c'est l'équivalent de ce que vous envoyez dans un mail à chaque fois que vous cliquez sur le bouton envoyer.
Une fois ces éléments définis, voici l'interface de Google Wave.
Analysons cette interface. En haut dans la colonne de gauche nous retrouvons les habituels dossiers de réception et d'émission d'emails (Réception, Corbeille, Tous, Spam...) ainsi que l'accès aux paramètres. Juste en dessous, une liste de contact (pour l'instant ça ressemble beaucoup à Gmail). La seconde colonne contient les waves avec un sujet, une icône pour les pièces jointes (le trombone gris) et les gadgets (la pièce de puzzle verte), les contacts y participant le nombre et l'heure des messages ainsi que le nombre de blip non lus (en blanc sur fond vert). En sélectionnant une wave, elle s'affiche dans la colonne de droite. On retrouve tout en haut la liste des participants, une barre d'outils et les blips. Jusqu'ici rien de très original.
Que puis-je faire de plus avec Google Wave ?
L'intérêt de Google Wave est que chaque Wave est une façon unifiée de communiquer avec ses contacts. Qu'ils soient tous hors ligne, connectés à leur messagerie instantanée, ou un savant mélange des deux, la façon de communiquer est TOUJOURS la même : il suffit de cliquer sur une vague et de commencer à taper (pour le texte), glisser déposer une image (pour l'uploader), coller un lien vers youtube, flickr, etc... pour insérer une galerie ou une vidéo automatiquement. Google Wave se charge alors du reste en temps réel.
Un contact est connecté ? Il a voir en temps réel ce que vous marquez (si vous le souhaitez et qu'il fait partie de vos destinataires), caractère par caractère, sans qu'il soit nécessaire de cliquer sur 'envoyer'. Il pourra même répondre ou il le souhaite (avant, au milieu ou après votre contribution) et éditer ce que vous avez dit.
Un autre contact n'est pas connecté ? Pas de soucis, wave enregistre le tout en temps réel, et ce destinataire pourra revoir ce que vous avez tapé (mais aussi les autres participants) et dans quel ordre grâce à une barre de temps (timeline) similaire au visionnage d'une vidéo.
Un des contacts est japonais et ne parle pas un mot de français ? Invitez donc un robot de traduction à votre wave, il se chargera de traduire (toujours en temps réel) ce que vous dite. Vous parlez des cours des actions de MSFT et GOOG ? Un robot financier que vous aurez invité pourra ajouter les graphes temps réel des cours des actions pour les entreprises dont vous parlez. Assez parlé de travail, organisons une soirée ! Intégrez une carte Google maps et éditez la en temps réel avec les autres participants.
Vous allez me dire que c'est du Google docs en temps réel. Oui ! Mais c'est aussi du Gmail, du Google Talk, du Google calendar, du Google Maps, du Youtube, du Picasa, du Gdrive du Google Translate et du Orkut en même temps. Et même d'avantage ! Un ami est sur twitter ? Pas de soucis, un robot peut intégrer ses tweets dans la vague. Un autre ami est disponible via son téléphone mobile ? Un sms pourra lui envoyer toutes les informations de la discussion.
Que veut Google avec Wave ?
Google Wave a pour objectif de devenir 3 choses : un service, une plateforme et un protocole. Le service, Google Wave est exactement ce que vous venez de découvrir via les paragraphes précédents et les captures d'écran. La plateforme est l'application derrière Google Wave et son API, open source, disponibles pour être installés par tous (pour les entreprises par exemple). Google espère ainsi que ce système soit utilisés par plusieurs grosses entités pour atteindre une masse critique rapidement. Enfin, le protocole (brouillon disponible) a pour but de permettre à tous les waves installés de pouvoir communiquer. Ainsi si un utilisateur de Google Wave veut parler à un utilisateur de Microsoft Wave et inviter un robot de Yahoo Wave, le tout doit savoir comment communiquer.
L'espoir de Google est d'attirer les développeur dans leur API Google Wave afin de générer un cercle vertueux : des développeurs font des choses cool avec Wave, plus d'utilisateurs viennent sur le service, donc nouveaux développeurs et fournisseurs de service arrivent sur la plateforme...
À en croire les réactions de l'auditoire de Google I/O, la chose a été TRÈS bien accueillie. Et il est fort probable que l'ouverture de l'API ce vendredi soit un grand succès pour Google.
C'est tout ce que l'on peut faire avec Wave ? Communiquer ? Mais c'est nul ça ne change rien à ce que l'on peut faire avec Gmail par exemple...
Le potentiel (mon enthousiasme) étant très fort, je vais essayer de vous présenter un autre exemple de ce qui sera possible avec wave. J'ai omis plus haut de vous parler d'une fonctionnalité intéressante, la possibilité de publier une vague. Ainsi vous pourriez rendre public le contenu d'une vague de votre choix, faire qu'elle soit indexable même autoriser d'autres utilisateur a y prendre part.
Ainsi une vague publique mais uniquement accessible en lecture pourra constituer un de vos billet sur votre blog, que vos lecteurs liront en temps réel alors que vous serez en train de le taper avec vos co-auteurs. Une autre vague publique mais accessible en écriture pourra faire office de flux de commentaires. Les possibilités sont quasiment infinies..."
Qu'est ce que Google Wave ?
Google Wave consiste en un lieu centralisé pour toutes vos communications électronique. Google Wave introduit de nouveaux termes pour exprimer des notions jusqu'ici peu utilisés dans les conversations électroniques.
1. Wave (vague) : une vague représente un flot de communication, avec plusieurs personnes humaines et des robots, se déroulant sur une période de temps. Ce flot de communication est lancé par un participant, à destinations d'autres participants (humains ou non). Les moyens de communication peuvent être de tous types : texte riche, images, documents, vidéos, cartes, évènements de calendrier, gadgets... Une vague est similaire aux Thread (discussions) des forums et de Gmail, aux conversations en messagerie instantanée etc.
2. Wavelet (vaguelette) : une vaguelette est une partie de vague qui peut être restreinte à certains utilisateurs. Par exemple, lors d'une discussion entre 5 amis, un couple d'ami peut vouloir discuter du même sujet mais sans que les autres n'accèdent à votre discussion. En créant une vaguelette privée, les deux personnes peuvent communiquer (en privé) tout en gardant le reste de la discussion (publique) disponible...
3. Blip : un blip est la plus petite unité de communication d'une vague : c'est l'équivalent de ce que vous envoyez dans un mail à chaque fois que vous cliquez sur le bouton envoyer.
Une fois ces éléments définis, voici l'interface de Google Wave.
Analysons cette interface. En haut dans la colonne de gauche nous retrouvons les habituels dossiers de réception et d'émission d'emails (Réception, Corbeille, Tous, Spam...) ainsi que l'accès aux paramètres. Juste en dessous, une liste de contact (pour l'instant ça ressemble beaucoup à Gmail). La seconde colonne contient les waves avec un sujet, une icône pour les pièces jointes (le trombone gris) et les gadgets (la pièce de puzzle verte), les contacts y participant le nombre et l'heure des messages ainsi que le nombre de blip non lus (en blanc sur fond vert). En sélectionnant une wave, elle s'affiche dans la colonne de droite. On retrouve tout en haut la liste des participants, une barre d'outils et les blips. Jusqu'ici rien de très original.
Que puis-je faire de plus avec Google Wave ?
L'intérêt de Google Wave est que chaque Wave est une façon unifiée de communiquer avec ses contacts. Qu'ils soient tous hors ligne, connectés à leur messagerie instantanée, ou un savant mélange des deux, la façon de communiquer est TOUJOURS la même : il suffit de cliquer sur une vague et de commencer à taper (pour le texte), glisser déposer une image (pour l'uploader), coller un lien vers youtube, flickr, etc... pour insérer une galerie ou une vidéo automatiquement. Google Wave se charge alors du reste en temps réel.
Un contact est connecté ? Il a voir en temps réel ce que vous marquez (si vous le souhaitez et qu'il fait partie de vos destinataires), caractère par caractère, sans qu'il soit nécessaire de cliquer sur 'envoyer'. Il pourra même répondre ou il le souhaite (avant, au milieu ou après votre contribution) et éditer ce que vous avez dit.
Un autre contact n'est pas connecté ? Pas de soucis, wave enregistre le tout en temps réel, et ce destinataire pourra revoir ce que vous avez tapé (mais aussi les autres participants) et dans quel ordre grâce à une barre de temps (timeline) similaire au visionnage d'une vidéo.
Un des contacts est japonais et ne parle pas un mot de français ? Invitez donc un robot de traduction à votre wave, il se chargera de traduire (toujours en temps réel) ce que vous dite. Vous parlez des cours des actions de MSFT et GOOG ? Un robot financier que vous aurez invité pourra ajouter les graphes temps réel des cours des actions pour les entreprises dont vous parlez. Assez parlé de travail, organisons une soirée ! Intégrez une carte Google maps et éditez la en temps réel avec les autres participants.
Vous allez me dire que c'est du Google docs en temps réel. Oui ! Mais c'est aussi du Gmail, du Google Talk, du Google calendar, du Google Maps, du Youtube, du Picasa, du Gdrive du Google Translate et du Orkut en même temps. Et même d'avantage ! Un ami est sur twitter ? Pas de soucis, un robot peut intégrer ses tweets dans la vague. Un autre ami est disponible via son téléphone mobile ? Un sms pourra lui envoyer toutes les informations de la discussion.
Que veut Google avec Wave ?
Google Wave a pour objectif de devenir 3 choses : un service, une plateforme et un protocole. Le service, Google Wave est exactement ce que vous venez de découvrir via les paragraphes précédents et les captures d'écran. La plateforme est l'application derrière Google Wave et son API, open source, disponibles pour être installés par tous (pour les entreprises par exemple). Google espère ainsi que ce système soit utilisés par plusieurs grosses entités pour atteindre une masse critique rapidement. Enfin, le protocole (brouillon disponible) a pour but de permettre à tous les waves installés de pouvoir communiquer. Ainsi si un utilisateur de Google Wave veut parler à un utilisateur de Microsoft Wave et inviter un robot de Yahoo Wave, le tout doit savoir comment communiquer.
L'espoir de Google est d'attirer les développeur dans leur API Google Wave afin de générer un cercle vertueux : des développeurs font des choses cool avec Wave, plus d'utilisateurs viennent sur le service, donc nouveaux développeurs et fournisseurs de service arrivent sur la plateforme...
À en croire les réactions de l'auditoire de Google I/O, la chose a été TRÈS bien accueillie. Et il est fort probable que l'ouverture de l'API ce vendredi soit un grand succès pour Google.
C'est tout ce que l'on peut faire avec Wave ? Communiquer ? Mais c'est nul ça ne change rien à ce que l'on peut faire avec Gmail par exemple...
Le potentiel (mon enthousiasme) étant très fort, je vais essayer de vous présenter un autre exemple de ce qui sera possible avec wave. J'ai omis plus haut de vous parler d'une fonctionnalité intéressante, la possibilité de publier une vague. Ainsi vous pourriez rendre public le contenu d'une vague de votre choix, faire qu'elle soit indexable même autoriser d'autres utilisateur a y prendre part.
Ainsi une vague publique mais uniquement accessible en lecture pourra constituer un de vos billet sur votre blog, que vos lecteurs liront en temps réel alors que vous serez en train de le taper avec vos co-auteurs. Une autre vague publique mais accessible en écriture pourra faire office de flux de commentaires. Les possibilités sont quasiment infinies..."
Chromium Blog
Chromium Blog: "Extensions Status: On the Runway, Getting Ready for Take-Off
Wednesday, September 09, 2009
Good news for extension developers: as of today, extensions are turned on by default on Google Chrome's dev channel.
Extensions are small pieces of software that developers can write to customize the way Google Chrome works. We've been working on enabling extensions for a while, but until now, they were hidden behind a developer flag. As of today, this is no longer true. If you're on the dev channel, you can try installing some of our sample extensions.
Removing the flag is the first step in our launch process, and it means we're ready for a few more people to start using extensions-- the kind of adventurous people who populate the dev channel. For this release, we focused on getting most of the basic infrastructure and security pieces in place, in particular our new permission system. However, you should still be cautious and only install extensions from developers you trust.
Going forward, we are working hard towards a release on the Beta Channel. The UI is likely to change as we bring it up to Google Chrome's high standard, and we're still finishing up a few APIs. We've also enlisted some help to get extensions up to speed on Mac and Linux.
From the beginning, we've strived to make extensions super easy to develop. If you'd like to give it a try, you'll find everything you need to get started in our brand new documentation. If you've already written an extension, make sure to read this post about some recent changes."
Wednesday, September 09, 2009
Good news for extension developers: as of today, extensions are turned on by default on Google Chrome's dev channel.
Extensions are small pieces of software that developers can write to customize the way Google Chrome works. We've been working on enabling extensions for a while, but until now, they were hidden behind a developer flag. As of today, this is no longer true. If you're on the dev channel, you can try installing some of our sample extensions.
Removing the flag is the first step in our launch process, and it means we're ready for a few more people to start using extensions-- the kind of adventurous people who populate the dev channel. For this release, we focused on getting most of the basic infrastructure and security pieces in place, in particular our new permission system. However, you should still be cautious and only install extensions from developers you trust.
Going forward, we are working hard towards a release on the Beta Channel. The UI is likely to change as we bring it up to Google Chrome's high standard, and we're still finishing up a few APIs. We've also enlisted some help to get extensions up to speed on Mac and Linux.
From the beginning, we've strived to make extensions super easy to develop. If you'd like to give it a try, you'll find everything you need to get started in our brand new documentation. If you've already written an extension, make sure to read this post about some recent changes."
Zorgloob: juin 2009 - Tout savoir sur Google... Squared est une nouvelle façon d'obtenir des résultats en croisant différentes sources de données
Zorgloob: juin 2009 - Tout savoir sur Google... ou presque !: "Envie d'afficher des données collectées de façon automatique ? Squared est une nouvelle façon d'obtenir des résultats en croisant différentes sources de données pour en extraire les plus pertinentes. Un exemple avec le terme 'browsers', soit navigateurs en anglais, pour voir de quoi cette nouvelle expérimentation est capable. Si vous vous connectez à votre compte, vous pourrez alors sauvegarder les tableaux obtenus pour les modifier ultérieurement."
Zorgloob: juin 2009 - Tout savoir sur Google...sur comment traiter un grand volume de données
Zorgloob: juin 2009 - Tout savoir sur Google... ou presque !: "Google Fusion Tables arrive dans Google Labs. Rien de bien révolutionnaire à première vue. - Google
Utile si vous avez de grands ensembles de données qui sont difficiles à manipuler depuis un tableur pour créer par exemples des graphiques ou des cartes interactives... L'usage est très spécifique, mais peut se révéler payant en conjonction avec les données de gouvernement américain disponibles depuis quelques semaines"
Utile si vous avez de grands ensembles de données qui sont difficiles à manipuler depuis un tableur pour créer par exemples des graphiques ou des cartes interactives... L'usage est très spécifique, mais peut se révéler payant en conjonction avec les données de gouvernement américain disponibles depuis quelques semaines"
Upload Document for Translation - Google Translator Toolkit
Upload Document for Translation - Google Translator Toolkit: "Upload Document for Translation
You can create a new translation by uploading a file or by specifying a URL to a web page, a Wikipedia™ article or a knol."
Types of files that you can upload:
Documents (total upto 1MB)
* HTML (.html)
* Microsoft Word (.doc)
* OpenDocument Text (.odt)
* Plain Text (.txt)
* Rich Text (.rtf)
You can create a new translation by uploading a file or by specifying a URL to a web page, a Wikipedia™ article or a knol."
Types of files that you can upload:
Documents (total upto 1MB)
* HTML (.html)
* Microsoft Word (.doc)
* OpenDocument Text (.odt)
* Plain Text (.txt)
* Rich Text (.rtf)
Google Translation Center, a New Human Translations Service in the Making
Google Translation Center, a New Human Translations Service in the Making: "Google Translation Center, a New Human Translations Service in the Making
Google is working on a new service called Google Translation Center. Just a short while ago, we noticed that “center” had been added to Google’s robots.txt file, and now co-editor Tony Ruscoe discovered the link to the working frontpage... though logging in fails right now. According to the Google explanations on the frontpage and their product overview page, we can see this is meant to be a translation service which offers both volunteers and professional translators... and I suppose at least the professionals will want to get paid. In that regards, the service is in the field of sites like Click2Translate.com (a service by the company which Tony works for, incidentally, and which I’m often using for some of my sites).
Here’s what’s printed as a description on the service’s frontpage:
'Request translations and find translators
Upload your document and request translations into over 40 languages. [*]
Translate and review translated documents
Create and review content in your language through Google’s free, easy-to-use, online translation tools.'
And these are the sample screenshots Google shows off in their product introduction:
The project creation page. You can provide fields like project name (e.g. “FAQ page”), description, due date and owners. You can set the source and target language, upload a local file to be translated, and assign a translator and a reviewer. “If a translator accepts, you should receive your translated content back as soon as it’s ready,” Google says (note the “if” part, a potentially important difference to paid-only translation services).
This is what Google calls the translator inbox in their screenshot file name. It looks like the overview page for those approaching the Google Translation Center as a translator. Google says, “Passionate about bringing content into your language? Browse through Google Translation Center to find open translation requests into your language. Accept translation requests and use Google translation tools to provide quick, high-quality translations.” In this view, you can find out the number of assignments, and the completion status for each.
The part Google calls the translator workbench. In this view, the translator sees the source text and the translation in progress side-by-side. An option on top toggles auto-saving. A third column offers a couple of helper tools for the translation, like a revision history, a glossary, or a history of previous translations.
More than an all-in-one stop for paid translations as some of the competing services in this field, the Google Translation Center looks like it aims to be a marketplace coordinator and tool provider. Just how Google could make money with this is another question. Google often goes for ads; in this system, one might think getting commissions for paid jobs would be an option, but there’s a part in the terms and conditions of the service which makes me wonder if there will be such a thing – Google says (my emphasis):
'Your interaction with any third party participant(s) or user(s) within Google Translation Center, including payment and delivery of goods and services, and any other terms, conditions, warranties or representations associated with such dealings, are solely between you and such third party participant(s) or user(s) and Google is not involved in such dealings'
I’m also curious if volunteers will get paid, too, as one might think it’s not like everyone is waiting to do free translations... unless they identify with a site or some content re-use is allowed (like an open source project, perhaps, or a Creative Commons licensed article). If Google decides to provide a rating system, though, then volunteering for projects may have the side-effect of increasing one’s status within the service.
Another interesting aspect is how Google will handle the service’s feature to match current translations with previous ones. Tony says, “This sounds like what the industry calls a ’Translation Memory’. Usually, the client would pay for a translation memory and own it since they paid for the translations.” Tony adds that if Google may plan to add something like a “global Translation Memory,” then this could raise the questions whether or not customers end up paying for pro translators to find their translation memory be re-used by other companies. Another issue of discussion will likely be the translation quality, by and large; just imagine someone volunteering to sneak in insults or spam. From Google’s FAQ on this:
'Does Google provide guarantees on the quality of the services provided by Google Translation Center?
No. Translations created in Google Translation Center are purely between the translation requester and the translators.'
And as the terms of service argue, “Google will not” be “involved in resolving any disputes between you and any third party participant(s) related or arising out of your use of Google Translation Center”. But let’s wait and see. Judging from my past translation jobs as a webmaster – give the service a data file containing all your content strings, plug it back in later on and suddenly have a multi-language website – this is definitely an interesting and highly useful field. Right now, according to the FAQ, “Google Translation Center is in limited release through Google’s Trusted Tester Program” which gives “friends and family members of Google employees a chance to test-drive our early beta, prior to release. Later, anyone can sign up to request and provide translations through Google Translation Center.”
[Thanks Tony!]
*Also see Google’s previous blog post in regards to the 40 languages."
Google is working on a new service called Google Translation Center. Just a short while ago, we noticed that “center” had been added to Google’s robots.txt file, and now co-editor Tony Ruscoe discovered the link to the working frontpage... though logging in fails right now. According to the Google explanations on the frontpage and their product overview page, we can see this is meant to be a translation service which offers both volunteers and professional translators... and I suppose at least the professionals will want to get paid. In that regards, the service is in the field of sites like Click2Translate.com (a service by the company which Tony works for, incidentally, and which I’m often using for some of my sites).
Here’s what’s printed as a description on the service’s frontpage:
'Request translations and find translators
Upload your document and request translations into over 40 languages. [*]
Translate and review translated documents
Create and review content in your language through Google’s free, easy-to-use, online translation tools.'
And these are the sample screenshots Google shows off in their product introduction:
The project creation page. You can provide fields like project name (e.g. “FAQ page”), description, due date and owners. You can set the source and target language, upload a local file to be translated, and assign a translator and a reviewer. “If a translator accepts, you should receive your translated content back as soon as it’s ready,” Google says (note the “if” part, a potentially important difference to paid-only translation services).
This is what Google calls the translator inbox in their screenshot file name. It looks like the overview page for those approaching the Google Translation Center as a translator. Google says, “Passionate about bringing content into your language? Browse through Google Translation Center to find open translation requests into your language. Accept translation requests and use Google translation tools to provide quick, high-quality translations.” In this view, you can find out the number of assignments, and the completion status for each.
The part Google calls the translator workbench. In this view, the translator sees the source text and the translation in progress side-by-side. An option on top toggles auto-saving. A third column offers a couple of helper tools for the translation, like a revision history, a glossary, or a history of previous translations.
More than an all-in-one stop for paid translations as some of the competing services in this field, the Google Translation Center looks like it aims to be a marketplace coordinator and tool provider. Just how Google could make money with this is another question. Google often goes for ads; in this system, one might think getting commissions for paid jobs would be an option, but there’s a part in the terms and conditions of the service which makes me wonder if there will be such a thing – Google says (my emphasis):
'Your interaction with any third party participant(s) or user(s) within Google Translation Center, including payment and delivery of goods and services, and any other terms, conditions, warranties or representations associated with such dealings, are solely between you and such third party participant(s) or user(s) and Google is not involved in such dealings'
I’m also curious if volunteers will get paid, too, as one might think it’s not like everyone is waiting to do free translations... unless they identify with a site or some content re-use is allowed (like an open source project, perhaps, or a Creative Commons licensed article). If Google decides to provide a rating system, though, then volunteering for projects may have the side-effect of increasing one’s status within the service.
Another interesting aspect is how Google will handle the service’s feature to match current translations with previous ones. Tony says, “This sounds like what the industry calls a ’Translation Memory’. Usually, the client would pay for a translation memory and own it since they paid for the translations.” Tony adds that if Google may plan to add something like a “global Translation Memory,” then this could raise the questions whether or not customers end up paying for pro translators to find their translation memory be re-used by other companies. Another issue of discussion will likely be the translation quality, by and large; just imagine someone volunteering to sneak in insults or spam. From Google’s FAQ on this:
'Does Google provide guarantees on the quality of the services provided by Google Translation Center?
No. Translations created in Google Translation Center are purely between the translation requester and the translators.'
And as the terms of service argue, “Google will not” be “involved in resolving any disputes between you and any third party participant(s) related or arising out of your use of Google Translation Center”. But let’s wait and see. Judging from my past translation jobs as a webmaster – give the service a data file containing all your content strings, plug it back in later on and suddenly have a multi-language website – this is definitely an interesting and highly useful field. Right now, according to the FAQ, “Google Translation Center is in limited release through Google’s Trusted Tester Program” which gives “friends and family members of Google employees a chance to test-drive our early beta, prior to release. Later, anyone can sign up to request and provide translations through Google Translation Center.”
[Thanks Tony!]
*Also see Google’s previous blog post in regards to the 40 languages."
Zorgloob: juin 2009 - Tout savoir sur Google... wave
Zorgloob: juin 2009 - Tout savoir sur Google... ou presque !: "Les développeurs qui ont accès à Google Wave (ceux de Google I/O et quelques chanceux, dont nous ne faisons pas encore partie) sont apparemment très enthousiastes et codent, connectent, préparent leurs gadgets et robots. Le blog officiel des développeurs Google Wave présente ces créations.
Tout d'abord, un développeur a créé un simulateur Google Wave pour ceux qui souhaitent créer des gadgets mais n'ont pas d'accès à Wave. Ce simulateur accepte tout gadget via un xml, puis en créé deux instances exécutées par deux utilisateurs simultanément. Le tout est accessible gratuitement.
Un autre développeur vient de créer un robot qui permet de lancer un appel téléphonique et de retranscrire en temps réel le texte des discussion dans Google Wave. Cette fonctionnalité semble très prometteuse, et pourrait donner des idées à l'équipe de Google Voice.
Google Voice : exemple de robot
Certains se demandent pourquoi Wave n'a pas intégré dès ses débuts une interface avec les emails. L'équipe a répondue que c'est pour préserver le système des spams. Mais nous ne doutons pas qu'une telle fonction sera rapidement codée par les développeurs tout comme des passerelles vers les SMS, la messagerie instantanée (Jabber, MSN, Yahoo, AIM ...), ou d'autres services.
Bref, tout cela semble prometteur et à la vitesse ou ces développeurs codent, il est possible que lors de la sortie en béta de Wave, de nombreux robots et gadgets seront disponibles, avec des fonctions originales et variées."
Tout d'abord, un développeur a créé un simulateur Google Wave pour ceux qui souhaitent créer des gadgets mais n'ont pas d'accès à Wave. Ce simulateur accepte tout gadget via un xml, puis en créé deux instances exécutées par deux utilisateurs simultanément. Le tout est accessible gratuitement.
Un autre développeur vient de créer un robot qui permet de lancer un appel téléphonique et de retranscrire en temps réel le texte des discussion dans Google Wave. Cette fonctionnalité semble très prometteuse, et pourrait donner des idées à l'équipe de Google Voice.
Google Voice : exemple de robot
Certains se demandent pourquoi Wave n'a pas intégré dès ses débuts une interface avec les emails. L'équipe a répondue que c'est pour préserver le système des spams. Mais nous ne doutons pas qu'une telle fonction sera rapidement codée par les développeurs tout comme des passerelles vers les SMS, la messagerie instantanée (Jabber, MSN, Yahoo, AIM ...), ou d'autres services.
Bref, tout cela semble prometteur et à la vitesse ou ces développeurs codent, il est possible que lors de la sortie en béta de Wave, de nombreux robots et gadgets seront disponibles, avec des fonctions originales et variées."
Zorgloob: juin 2009 - Tout savoir sur Google... qui cartographie les festivals
Zorgloob: juin 2009 - Tout savoir sur Google... ou presque !: "Concerts, théâtre, danse, expositions, ... impossible de s'ennuyer cet été, grâce à Google Maps et Télérama.
L'été : son soleil, ses vacances, ses plages bondées et bien entendu ses festivals. Il ne se passe pas une semaine sans un festival près de chez vous, qu'il soit grand ou petit. Pour savoir où sortir, rien de plus simple, les agendas pullulent sur internet : Fluctuat, Arte, Le Point, Les Inrocks et tant d'autres y vont de leur petit guide pour vous permettre ne pas passer votre été inactif ou devant votre clavier.
Pour promouvoir son guide, Le site de Télérama s'est associé à Google pour cartographier plus de 800 concerts en France. Il s'agît d'un 'guide exhaustif, complété des critiques de la rédaction de Télérama et de ses coups de cœur, ainsi que 1000 invitations à gagner' explique le communiqué de presse émis par les deux entreprises. Bien que le terme 'exhaustif' soit ici à prendre avec des pincettes, la majorité des événements culturels de cet été y sont recensés, du spectacle de marionnettes à l'exposition photo."
L'été : son soleil, ses vacances, ses plages bondées et bien entendu ses festivals. Il ne se passe pas une semaine sans un festival près de chez vous, qu'il soit grand ou petit. Pour savoir où sortir, rien de plus simple, les agendas pullulent sur internet : Fluctuat, Arte, Le Point, Les Inrocks et tant d'autres y vont de leur petit guide pour vous permettre ne pas passer votre été inactif ou devant votre clavier.
Pour promouvoir son guide, Le site de Télérama s'est associé à Google pour cartographier plus de 800 concerts en France. Il s'agît d'un 'guide exhaustif, complété des critiques de la rédaction de Télérama et de ses coups de cœur, ainsi que 1000 invitations à gagner' explique le communiqué de presse émis par les deux entreprises. Bien que le terme 'exhaustif' soit ici à prendre avec des pincettes, la majorité des événements culturels de cet été y sont recensés, du spectacle de marionnettes à l'exposition photo."
Zorgloob: juin 2009 - Tout savoir sur Google... blogger
Zorgloob: juin 2009 - Tout savoir sur Google... ou presque !: "Blogger a bientôt 10 ans, et à cette occasion, Google nous livre quelques chiffres...
C'est en effet le 23 août prochain que Blogger, la plate-forme de Blogs de Google, fêtera ses dix années d'existence.
Pour mémoire, rappelons que Google a acquis Blogger en février 2003 en rachetant la société Pyra Labs, éditrice de Blogger depuis le 23 août 1999...
Dans son Blog officiel, Google nous apprend ainsi que Blogger aujourd'hui c'est :
- 270 000 mots publiés chaque minute (soit 1 280 bibles par jour...)...
- Plusieurs millions d'utilisateurs à travers le monde...
- 2/3 du trafic en dehors des U.S...
- Le Brésil, la Turquie (étonnant...), l'Espagne, le Canada et le Royaume-Uni sont les pays les plus actifs...
- Le football (celui avec les pieds...) est le sport préféré des Bloggers...
Intéressant, certes, mais pas non plus de quoi se la mordre et, comme toujours chez Google, on dévoile 3 fois rien sans jamais oublier l'essentiel... à savoir faire bosser ses utilisateurs sous couvert de recueil d'expérience...
Rdv en aôut pour la fiesta !"
C'est en effet le 23 août prochain que Blogger, la plate-forme de Blogs de Google, fêtera ses dix années d'existence.
Pour mémoire, rappelons que Google a acquis Blogger en février 2003 en rachetant la société Pyra Labs, éditrice de Blogger depuis le 23 août 1999...
Dans son Blog officiel, Google nous apprend ainsi que Blogger aujourd'hui c'est :
- 270 000 mots publiés chaque minute (soit 1 280 bibles par jour...)...
- Plusieurs millions d'utilisateurs à travers le monde...
- 2/3 du trafic en dehors des U.S...
- Le Brésil, la Turquie (étonnant...), l'Espagne, le Canada et le Royaume-Uni sont les pays les plus actifs...
- Le football (celui avec les pieds...) est le sport préféré des Bloggers...
Intéressant, certes, mais pas non plus de quoi se la mordre et, comme toujours chez Google, on dévoile 3 fois rien sans jamais oublier l'essentiel... à savoir faire bosser ses utilisateurs sous couvert de recueil d'expérience...
Rdv en aôut pour la fiesta !"
Zorgloob: juillet 2009 - Tout savoir sur Google... wave
Zorgloob: juillet 2009 - Tout savoir sur Google... ou presque !: "Nous en avons reçu une !
Les Googlers travaillent même le dimanche, c'est désormais chose certaine ! L'invitation à Wave se fait donc en 3 étapes. La première nécessite une inscription sur le formulaire disponible depuis la conférence Google I/O. La seconde consiste en une demande d'identifiant sur le domaine wavesandbox.com via un lien envoyé par mail. Et enfin, la troisième est l'envoi du login/mot de passe définitif par mail.
Une fois toutes ces étapes réalisées, vous aurez deux comptes pour accéder à Wave (c'est mieux afin de pouvoir tester ses robots et plugins).
Premières impressions et tests vidéo à venir !"
Les Googlers travaillent même le dimanche, c'est désormais chose certaine ! L'invitation à Wave se fait donc en 3 étapes. La première nécessite une inscription sur le formulaire disponible depuis la conférence Google I/O. La seconde consiste en une demande d'identifiant sur le domaine wavesandbox.com via un lien envoyé par mail. Et enfin, la troisième est l'envoi du login/mot de passe définitif par mail.
Une fois toutes ces étapes réalisées, vous aurez deux comptes pour accéder à Wave (c'est mieux afin de pouvoir tester ses robots et plugins).
Premières impressions et tests vidéo à venir !"
Zorgloob: août 2009 - Tout savoir sur les 200 Google blog
Zorgloob: août 2009 - Tout savoir sur Google... ou presque !: "Zorgloob fait le point sur la kyrielle de blogs officiels alimentés par Google, probablement la plus grosse machine à communiqués de presse au monde.
Cette semaine, Google a fait officiellement son entrée sur Facebook. La page de l'entreprise compte déjà 267 000 fans à l'heure où sont écrites ces lignes. Dans la foulée, des profils pour Google AdWords et iGoogle ont été rendus publics.
Ces profils Facebook tout comme les nombreux comptes Twitter de Google — la liste complète est surveillée de près par @Zorgloob — ne font que reprendre les informations publiées sur les blogs de Google. C'est là que ce joue toute la communication de l'entreprise.
La firme californienne a été l'une des premières à comprendre l'intérêt des blogs dans la communication : cela permet de se passer de l'intermédiaire qu'est la presse et Google touche ainsi directement son public. Le premier blog officiel de Google est né le 11 mai 2004, quelques temps après Zorgloob.com bouh les copieurs !.
Très vite, Google.com/googleblog bascule sur la plate-forme rachetée quelques temps plus tôt, Blogger/BlogSpot, pour la promouvoir et devient googleblog.blogspot.com. Dès lors, l'entreprise va décliner ses blogs en fonction des produits, services, événements et langues. Nous suivons leurs nombreuses publications au jour le jour pour vous faire part, ici ou sur @Zorgloob, des nouvelles officielles du monde de Google. Ce sont ces blogs que nous avons aujourd'hui étudié pour vous.
À ce jour, nous avons comptabilisé 189* blogs actifs de Google. Nous n'avons pris en compte que les blogs considérés par Google comme tels avec leur mise en page commune — et non les simples 'flux' comme Google AJAX API Alerts — et nous avons retiré de notre liste les blogs officiellement clôturés, comme Google Summer of Code blog ou Writely blog.
Sur ces 189 blogs, 179 ont été mis à jour au moins une fois cette année, soit 94,7%. Les 10 maillons faibles sont Android Market Help Forum Announcements (dernier article publié le 19/12/2008), Gadgets API Blog (16/10/2008), Google Checkout API Blog (01/10/2007), Google Enterprise Superstars (21/03/2008), Google Entertainment Blog Italia (19/02/2008), Google Mobile Help (13/03/2007), Google Testing Blog-Deutsch (18/02/2008), iGoogle Art Café Blog (13/06/2008), My Maps Blog (24/03/2008) et RechargeIT Blog (18/12/2008).
Sur ces 179 blogs mis à jour en 2009, ce sont pas moins de 147 (82%) qui ont été mis à jour il y a moins d'un mois, le total grimpe à 170 (94,9%) si l'ont compte ceux mis à jour au cours des trois derniers mois. Si vous possédez un blog vous savez à quel point il peut être parfois difficile de poster un message régulièrement. Alors imaginez avec près de 200 blogs ! C'est une armée de googlers qui doivent remplir cette tâche, chaque équipe ayant un blog pour son produit. Le blog est la vitrine du produit, et comme il se passe toujours quelque-chose chez Google, cela est retranscrit dans les blogs officiels.
En 2009, ce sont ainsi plus de 6000** messages qui ont été publiés par la firme de Mountain View, soit 28 billets par jour en moyenne. C'est le Blog officiel de Google qui a été à l'origine du plus grand nombre d'articles cette année : 220, c'est-à-dire 1 billet chaque jour. Suivent ensuite Google LatLong (148 messages cette année), Google Blog du Japon (143), Google Blog de la Corée du Sud (138), Google Code Blog (132), Inside AdWords Brésil (126), Inside AdWords USA (109), Blog de Google Analytics (107), Google Enterprise Blog (103), Google Public Policy Blog (98) etInside Adwords Allemagne (98). À l'autre bout de la liste, 20 blogs seulement comptent moins de 6 mises à jour cette année. Mention spéciale au blog officiel de Google Vidéo où ont été publiés 2 messages cette année, alors même que l'équipe de ce service avait annoncé la fin de ce blog en mars 2007.
Si les blogs de Google sont aussi nombreux, c'est que ces produits le sont, mais aussi que la firme est une multinationale qui doit s'adresser aux quatre coins du globe, et donc traduire ses interventions. Ainsi, 73 blogs (38,6%) ne sont pas rédigés dans la langue de Shakespeare. On compte 22 langues disponibles : 10 blogs en japonais, 10 autres en espagnol, 8 en allemand et 8 blogs français : le Blog officiel du forum d'aide de Google, Blogger Buzz en français (qui revient dans le feu de l'action cette année après une longue période d'inactivité),BloGoMaps qui est dédié à Google Maps, Google Analytics France Blog où Serge Descombes excelle, Inside AdSense en français, Inside AdWords en français, le blog de YouTube France, et le blog officiel de Google en Afrique. Ce dernier présente la particularité d'être le seul blog officiel bilingue puisque ses articles sont également rédigés en anglais.
Les autres langues sont l'italien, le portugais, le coréen, le chinois, le russe, le néerlandais, le thaï, suédois, le polonais, le hongrois, le danois, l'arabe, le tchèque, le turc, l'ukrainien, le finnois, l'hindi et le norvégien. Tous les blogs de Google ne sont pas traduits, seule une minorité d'entre eux le sont : Inside AdWords (disponible en 15 langues) et Inside AdSense (13 langues) sont ceux dont les articles touche la plus large cible dans le monde.
langues des blogs de Google
Vous l'aurez remarqué, la plate-forme Blogspot est pratiquement omniprésente dans cette liste. Elle héberge en effet 93,7% des blogs de Google. Ceux qui font bande à part, quoi qu'ils sont pour la plupart générés à partir de Blogger, sont Blogger Buzz et Blogger Developers Network qui sont hébergés sur blogger.com, le blog de Chromium sur chromium.org, celui de Google.org sur le domaine du même nom, le blog de l'API OpenSocial est publié sur opensocial.org, les blogs du réseau social orkut en portugais et en anglais se retrouvent sur orkut.com, le blog de Doubleclick est resté sur doubleclick.com et celui de l'API de YouTube sur youtube.com. On trouve également Google Developer Blog Chine, Inside AdSense en chinois, et le Google Blog chinois dont les articles sont publiés sur le domaine googlechinablog.com car l'accès à Blogspot.com est régulièrement coupé en Chine...
Pour conclure, les blogs de Google forment une machine de propagande à communiqués bien plus efficace que si l'entreprise avait choisi de communiquer uniquement par biais de presse. Il s'agît d'une vitrine, et de rien d'autre, car du concept de blog seul l'affichage en liste des articles sur une page par ordre anti-chronologique subsiste. Les commentaires, qui pourraient servir de dialogue entre Google et ses utilisateurs, sont désactivés sur la quasi-totalité des blogs du groupe. Toujours est-il que nous continuons de lire, pour vous, tous ces messages pour vous informer de l'actualité de Google. Toutefois, les infos des blogs non-officiels comme Zorgloob.com sont bien souvent plus croustillantes...
(*) Chiffres au 1er août 2009.
(**) Huit blogs de Youtube ont récemment changé de plate-forme et les dates des articles ont été modifiées, il n'a pas été possible techniquement de les comptabiliser dans ce calcul."
Cette semaine, Google a fait officiellement son entrée sur Facebook. La page de l'entreprise compte déjà 267 000 fans à l'heure où sont écrites ces lignes. Dans la foulée, des profils pour Google AdWords et iGoogle ont été rendus publics.
Ces profils Facebook tout comme les nombreux comptes Twitter de Google — la liste complète est surveillée de près par @Zorgloob — ne font que reprendre les informations publiées sur les blogs de Google. C'est là que ce joue toute la communication de l'entreprise.
La firme californienne a été l'une des premières à comprendre l'intérêt des blogs dans la communication : cela permet de se passer de l'intermédiaire qu'est la presse et Google touche ainsi directement son public. Le premier blog officiel de Google est né le 11 mai 2004, quelques temps après Zorgloob.com bouh les copieurs !.
Très vite, Google.com/googleblog bascule sur la plate-forme rachetée quelques temps plus tôt, Blogger/BlogSpot, pour la promouvoir et devient googleblog.blogspot.com. Dès lors, l'entreprise va décliner ses blogs en fonction des produits, services, événements et langues. Nous suivons leurs nombreuses publications au jour le jour pour vous faire part, ici ou sur @Zorgloob, des nouvelles officielles du monde de Google. Ce sont ces blogs que nous avons aujourd'hui étudié pour vous.
À ce jour, nous avons comptabilisé 189* blogs actifs de Google. Nous n'avons pris en compte que les blogs considérés par Google comme tels avec leur mise en page commune — et non les simples 'flux' comme Google AJAX API Alerts — et nous avons retiré de notre liste les blogs officiellement clôturés, comme Google Summer of Code blog ou Writely blog.
Sur ces 189 blogs, 179 ont été mis à jour au moins une fois cette année, soit 94,7%. Les 10 maillons faibles sont Android Market Help Forum Announcements (dernier article publié le 19/12/2008), Gadgets API Blog (16/10/2008), Google Checkout API Blog (01/10/2007), Google Enterprise Superstars (21/03/2008), Google Entertainment Blog Italia (19/02/2008), Google Mobile Help (13/03/2007), Google Testing Blog-Deutsch (18/02/2008), iGoogle Art Café Blog (13/06/2008), My Maps Blog (24/03/2008) et RechargeIT Blog (18/12/2008).
Sur ces 179 blogs mis à jour en 2009, ce sont pas moins de 147 (82%) qui ont été mis à jour il y a moins d'un mois, le total grimpe à 170 (94,9%) si l'ont compte ceux mis à jour au cours des trois derniers mois. Si vous possédez un blog vous savez à quel point il peut être parfois difficile de poster un message régulièrement. Alors imaginez avec près de 200 blogs ! C'est une armée de googlers qui doivent remplir cette tâche, chaque équipe ayant un blog pour son produit. Le blog est la vitrine du produit, et comme il se passe toujours quelque-chose chez Google, cela est retranscrit dans les blogs officiels.
En 2009, ce sont ainsi plus de 6000** messages qui ont été publiés par la firme de Mountain View, soit 28 billets par jour en moyenne. C'est le Blog officiel de Google qui a été à l'origine du plus grand nombre d'articles cette année : 220, c'est-à-dire 1 billet chaque jour. Suivent ensuite Google LatLong (148 messages cette année), Google Blog du Japon (143), Google Blog de la Corée du Sud (138), Google Code Blog (132), Inside AdWords Brésil (126), Inside AdWords USA (109), Blog de Google Analytics (107), Google Enterprise Blog (103), Google Public Policy Blog (98) etInside Adwords Allemagne (98). À l'autre bout de la liste, 20 blogs seulement comptent moins de 6 mises à jour cette année. Mention spéciale au blog officiel de Google Vidéo où ont été publiés 2 messages cette année, alors même que l'équipe de ce service avait annoncé la fin de ce blog en mars 2007.
Si les blogs de Google sont aussi nombreux, c'est que ces produits le sont, mais aussi que la firme est une multinationale qui doit s'adresser aux quatre coins du globe, et donc traduire ses interventions. Ainsi, 73 blogs (38,6%) ne sont pas rédigés dans la langue de Shakespeare. On compte 22 langues disponibles : 10 blogs en japonais, 10 autres en espagnol, 8 en allemand et 8 blogs français : le Blog officiel du forum d'aide de Google, Blogger Buzz en français (qui revient dans le feu de l'action cette année après une longue période d'inactivité),BloGoMaps qui est dédié à Google Maps, Google Analytics France Blog où Serge Descombes excelle, Inside AdSense en français, Inside AdWords en français, le blog de YouTube France, et le blog officiel de Google en Afrique. Ce dernier présente la particularité d'être le seul blog officiel bilingue puisque ses articles sont également rédigés en anglais.
Les autres langues sont l'italien, le portugais, le coréen, le chinois, le russe, le néerlandais, le thaï, suédois, le polonais, le hongrois, le danois, l'arabe, le tchèque, le turc, l'ukrainien, le finnois, l'hindi et le norvégien. Tous les blogs de Google ne sont pas traduits, seule une minorité d'entre eux le sont : Inside AdWords (disponible en 15 langues) et Inside AdSense (13 langues) sont ceux dont les articles touche la plus large cible dans le monde.
langues des blogs de Google
Vous l'aurez remarqué, la plate-forme Blogspot est pratiquement omniprésente dans cette liste. Elle héberge en effet 93,7% des blogs de Google. Ceux qui font bande à part, quoi qu'ils sont pour la plupart générés à partir de Blogger, sont Blogger Buzz et Blogger Developers Network qui sont hébergés sur blogger.com, le blog de Chromium sur chromium.org, celui de Google.org sur le domaine du même nom, le blog de l'API OpenSocial est publié sur opensocial.org, les blogs du réseau social orkut en portugais et en anglais se retrouvent sur orkut.com, le blog de Doubleclick est resté sur doubleclick.com et celui de l'API de YouTube sur youtube.com. On trouve également Google Developer Blog Chine, Inside AdSense en chinois, et le Google Blog chinois dont les articles sont publiés sur le domaine googlechinablog.com car l'accès à Blogspot.com est régulièrement coupé en Chine...
Pour conclure, les blogs de Google forment une machine de propagande à communiqués bien plus efficace que si l'entreprise avait choisi de communiquer uniquement par biais de presse. Il s'agît d'une vitrine, et de rien d'autre, car du concept de blog seul l'affichage en liste des articles sur une page par ordre anti-chronologique subsiste. Les commentaires, qui pourraient servir de dialogue entre Google et ses utilisateurs, sont désactivés sur la quasi-totalité des blogs du groupe. Toujours est-il que nous continuons de lire, pour vous, tous ces messages pour vous informer de l'actualité de Google. Toutefois, les infos des blogs non-officiels comme Zorgloob.com sont bien souvent plus croustillantes...
(*) Chiffres au 1er août 2009.
(**) Huit blogs de Youtube ont récemment changé de plate-forme et les dates des articles ont été modifiées, il n'a pas été possible techniquement de les comptabiliser dans ce calcul."
Zorgloob: août 2009 - Tout savoir sur Google street
Zorgloob: août 2009 - Tout savoir sur Google... ou presque !: "Google Street View en Suisse, au Portugal et à Taïwan
Google streetview Trois nouveaux pays pour le projet Street View.
Les images panoramiques de Google Street View viennent de faire leur apparition dans trois nouveaux pays : la Suisse, le Portugal et Taïwan.
Les 'Google cars' circulent en Suisse depuis le 19 mars dernier. C'est à Zurich que se trouvent les bureaux de Google en Suisse, les employés en ont profité pour faire un petit coucou à la voiture. Lausanne, Zurich, Bern, Genève
google street view en suisse
Au Portugal, les véhicules de la firme sillonnent les routes depuis le 14 avril dernier. Actuellement seules les agglomérations de Lisbonne et Porto sont couvertes par le dispositif.
google street view au portugal
Le dernier pays concerné par cette mise à jour n'est pas en Europe mais en Asie, il s'agît de Taïwan, et plus précisément la ville de Taipei. Même si Google a eu le temps de prendre plus de photos que dans les deux précédents pays ? les prises de vues sont en cours depuis décembre 2008 ? seules les images de la capitale ont été diffusées.
google street view a taiwan
taipei a taiwan
Taipei 101, l'un des plus grands buildings du monde
A l'heure où sont écrites ces lignes, 31 pays sont concernés par le projet Google Street View, et les vues de 12 d'entre-eux ont déjà été rendues publiques. Les dernières mises à jour qui concernaient la France datent du mois de mars.
Édition : des nouvelles images ont été ajoutées au parc 'Légoland' en Californie, selon le blog de Google Maps. Pour cette zone très précise (où tout le monde n'est pas flouté... oO), le bonhomme jaune 'Pegman' a été remplacé par un Légo.
Dans le même temps a été le programme 'Street View Partner Program'. Cette initiative, qui est déjà en place dans les faits depuis le début du projet Street View, propose aux propriétaires de parcs, de zoos, de stades, d'universités, de terrains de golf ou d'espaces publics intéressants de laisser le tricyle de Google circuler dans ses allées. Un programme gagnant-gagnant, la publicité pour les deux étant assurée. Pour rappel, les parisiens pourront encore croiser le tricycle jusqu'à jeudi, et la semaine prochaine il sera à Honfleur puis à Lille.
[Danke Pascal]"
Zorgloob - Tout savoir sur Google Insérer la visionneuse Google Docs dans vos pages
Zorgloob - Tout savoir sur Google... ou presque !: "Insérer la visionneuse Google Docs dans vos pages Web
Insérer la visionneuse Google Docs dans vos pages WebGoogle Docs offre la possibilité d'intégrer des documents PDF directement à l'intérieur de vos pages Web...
Voici le code que vous devez insérer dans vos pages :
<iframe src='http://docs.google.com/gview?url=http://www.google.co.uk/intl/en/adtoolkit/pdfs/products/search_engine_optimisation.pdf&embedded=true' style='width:500px; height:400px;' frameborder='0'></iframe>
Il vous suffit ensuite de remplacer l'url du PDF par celle du fichier que vous souhaitez afficher et d'ajuster les paramètres de largeur et de hauteur...
Cette fonction permet également d'utiliser des fichier Powerpoint (PPT)"
Insérer la visionneuse Google Docs dans vos pages WebGoogle Docs offre la possibilité d'intégrer des documents PDF directement à l'intérieur de vos pages Web...
Voici le code que vous devez insérer dans vos pages :
<iframe src='http://docs.google.com/gview?url=http://www.google.co.uk/intl/en/adtoolkit/pdfs/products/search_engine_optimisation.pdf&embedded=true' style='width:500px; height:400px;' frameborder='0'></iframe>
Il vous suffit ensuite de remplacer l'url du PDF par celle du fichier que vous souhaitez afficher et d'ajuster les paramètres de largeur et de hauteur...
Cette fonction permet également d'utiliser des fichier Powerpoint (PPT)"
Zorgloob - Tout savoir sur Google moteur recherche (recherche des info paramètre du temps à la seconde!
Zorgloob - Tout savoir sur Google... ou presque !: "Quand Marissa Mayer, la vice-présidente de Google chargée des produits de recherche, évoquait en mai dernier les futurs axes d'expansion du moteur, son intention d'inclure le monde du micro-blogging dans les pages de résultats a vite fait le tour du web. Il faut dire que la tendance actuelle est au temps-réel et que Google est plutôt à la traîne face au maître en la matière qu'est Twitter.
Aujourd'hui, un coin du voile se lève. Il était déjà possible de filtrer les résultats de Google jusqu'aux pages indexées dans les dernières 24 heures, de trier par date ceux de Google Actualités et Google Recherche de Blogs; on peut maintenant faire beaucoup plus fort.
Google en temps reel, a la seconde pres
Il existe un paramètre d'URL peu connu de Google. Il s'agit de tbs=qdr, abréviation de 'query date range' (plage de recherche en français), disponible également plus simplement sous le nom as_qdr. Ce paramètre est disponible de longue date dans les options avancées du moteur : c'est grâce à lui que vous pouvez rechercher dans 'les dernières 24 heures'.
Notre confrère d'Omgili explique qu'en bidouillant ce paramètre d'URL il est possible d'affiner la requête jusqu'à obtenir la liste des pages indexées il y a quelques secondes :
* http://google.com/search?q=Zorgloob&as_qdr=y : pages indexées au cours des 365 derniers jours (1 an)
* http://google.com/search?q=Zorgloob&as_qdr=m : ... au cours des 31 derniers jours (1 mois)
* http://google.com/search?q=Zorgloob&as_qdr=w : ... au cours des 7 derniers jours (1 semaine)
* http://google.com/search?q=Zorgloob&as_qdr=d : ... au cours des dernières 24 heures (1 journée)
* http://google.com/search?q=Zorgloob&as_qdr=h : ... au cours des dernières 60 minutes (1 heure)
* http://google.com/search?q=Zorgloob&as_qdr=n : ... au cours des dernières 60 secondes (1 minute)
* http://google.com/search?q=Zorgloob&as_qdr=s : ... au cours de la dernière seconde.
Il est également possible d'ajouter un multiplicateur à la fin. Ainsi, le paramètre as_qdr=n30 vous aidera à obtenir des résultats dont les pages ont été parcourues par les robots de Google au cours de la dernière demi-heure (30 x 1 minute). La version anglaise de Google vous autorise également à rechercher des résultats depuis une certaine date ou indexés au cours d'une période définie grâce aux champs de sa barre latérale.
La précision indiquée par Google semble toutefois sujette à caution. On retrouve en effet des pages indexées 'il y a 23 minutes' dans les pages de résultats où le filtre indique 'au cours des 60 dernières secondes'. Le passage du robot ne correspond pas non plus avec la date du cache : cela dépend du serveur et le temps qu'il faut à Google pour répliquer ses informations.
À quoi cela peut-il servir ? se demandent sans doute les plus intrigués d'entre-vous. L'utilité est la même que celle dégagée par le moteur de recherche de Twitter : le besoin d'avoir des nouvelles fraîches, voire très très fraîches.
Exemple : imaginons que nous sommes à la fin d'un match football où votre équipe a perdu, elle n'est pas qualifiée pour le mondial et le sélectionneur se fait lyncher (ceci est une fiction, toute ressemblance avec des événements à venir dans un avenir proche serait totalement fortuite). Si vous recherchez des infos à ce sujet sur un moteur X ou Y, vous tomberez sur des pages annonçant ce match 'à venir'. Sur Google -- jusqu'à il y peu -- vous n'auriez obtenu tout au plus que la composition des équipes voire le score du match. Sur le moteur de recherches de Twitter et maintenant sur Google, vous pourrez obtenir les messages sur les blogs des supporters en train de pleurer ou encore les dernières vidéos Youtube du lynchage du sélectionneur.
Google a encore beaucoup de progrès à faire pour exceller dans ce domaine, mais cette découverte montre que les ingénieurs y travaillent d'arrache-pied."
Aujourd'hui, un coin du voile se lève. Il était déjà possible de filtrer les résultats de Google jusqu'aux pages indexées dans les dernières 24 heures, de trier par date ceux de Google Actualités et Google Recherche de Blogs; on peut maintenant faire beaucoup plus fort.
Google en temps reel, a la seconde pres
Il existe un paramètre d'URL peu connu de Google. Il s'agit de tbs=qdr, abréviation de 'query date range' (plage de recherche en français), disponible également plus simplement sous le nom as_qdr. Ce paramètre est disponible de longue date dans les options avancées du moteur : c'est grâce à lui que vous pouvez rechercher dans 'les dernières 24 heures'.
Notre confrère d'Omgili explique qu'en bidouillant ce paramètre d'URL il est possible d'affiner la requête jusqu'à obtenir la liste des pages indexées il y a quelques secondes :
* http://google.com/search?q=Zorgloob&as_qdr=y : pages indexées au cours des 365 derniers jours (1 an)
* http://google.com/search?q=Zorgloob&as_qdr=m : ... au cours des 31 derniers jours (1 mois)
* http://google.com/search?q=Zorgloob&as_qdr=w : ... au cours des 7 derniers jours (1 semaine)
* http://google.com/search?q=Zorgloob&as_qdr=d : ... au cours des dernières 24 heures (1 journée)
* http://google.com/search?q=Zorgloob&as_qdr=h : ... au cours des dernières 60 minutes (1 heure)
* http://google.com/search?q=Zorgloob&as_qdr=n : ... au cours des dernières 60 secondes (1 minute)
* http://google.com/search?q=Zorgloob&as_qdr=s : ... au cours de la dernière seconde.
Il est également possible d'ajouter un multiplicateur à la fin. Ainsi, le paramètre as_qdr=n30 vous aidera à obtenir des résultats dont les pages ont été parcourues par les robots de Google au cours de la dernière demi-heure (30 x 1 minute). La version anglaise de Google vous autorise également à rechercher des résultats depuis une certaine date ou indexés au cours d'une période définie grâce aux champs de sa barre latérale.
La précision indiquée par Google semble toutefois sujette à caution. On retrouve en effet des pages indexées 'il y a 23 minutes' dans les pages de résultats où le filtre indique 'au cours des 60 dernières secondes'. Le passage du robot ne correspond pas non plus avec la date du cache : cela dépend du serveur et le temps qu'il faut à Google pour répliquer ses informations.
À quoi cela peut-il servir ? se demandent sans doute les plus intrigués d'entre-vous. L'utilité est la même que celle dégagée par le moteur de recherche de Twitter : le besoin d'avoir des nouvelles fraîches, voire très très fraîches.
Exemple : imaginons que nous sommes à la fin d'un match football où votre équipe a perdu, elle n'est pas qualifiée pour le mondial et le sélectionneur se fait lyncher (ceci est une fiction, toute ressemblance avec des événements à venir dans un avenir proche serait totalement fortuite). Si vous recherchez des infos à ce sujet sur un moteur X ou Y, vous tomberez sur des pages annonçant ce match 'à venir'. Sur Google -- jusqu'à il y peu -- vous n'auriez obtenu tout au plus que la composition des équipes voire le score du match. Sur le moteur de recherches de Twitter et maintenant sur Google, vous pourrez obtenir les messages sur les blogs des supporters en train de pleurer ou encore les dernières vidéos Youtube du lynchage du sélectionneur.
Google a encore beaucoup de progrès à faire pour exceller dans ce domaine, mais cette découverte montre que les ingénieurs y travaillent d'arrache-pied."
Zorgloob - Tout savoir sur Google fast flip
Zorgloob - Tout savoir sur Google... ou presque !: "ne expérience pour parcourir les journaux en ligne d'une autre façon... mais pas forcément plus pratique.
Google vient de lancer Google Fast Flip, une expérience de plus du Google Labs. Il s'agît d'une alternative à Google News, pour parcourir l'actualité autrement.
Ici, ce n'est pas vous qui cliquez sur les différents liens de l'outil pour ouvrir les articles que vous souhaitez consulter, ce sont les articles qui viennent à vous. L'outil de Google rapatrie des captures d'écran des articles et les met à la disposition des internautes. Vous pouvez ainsi feuilleter (flip, en anglais) ces images en tournant les pages virtuelles, sautant d'un article à un autre comme d'un journal à un autre."
Google vient de lancer Google Fast Flip, une expérience de plus du Google Labs. Il s'agît d'une alternative à Google News, pour parcourir l'actualité autrement.
Ici, ce n'est pas vous qui cliquez sur les différents liens de l'outil pour ouvrir les articles que vous souhaitez consulter, ce sont les articles qui viennent à vous. L'outil de Google rapatrie des captures d'écran des articles et les met à la disposition des internautes. Vous pouvez ainsi feuilleter (flip, en anglais) ces images en tournant les pages virtuelles, sautant d'un article à un autre comme d'un journal à un autre."
Zorgloob - Tout savoir sur Google. books
Zorgloob - Tout savoir sur Google... ou presque !: "Google Books et On Demand Books : du virtuel à la réalité
Google books Les éditeurs vont être ravis...
Tous les lecteurs assidus vous le diront : rien ne remplace le contact physique d'un livre : détenir un objet à soi, une relation presque intime, le plaisir de feuilleter...
Grâce à sa banque de livres numérisés, et suite à l'annonce de passage dans le domaine public de deux millions d'ouvrages, Google et On Demand Books ont signé jeudi 17 septembre un accord de partenariat pour imprimer et 'fabriquer' tout ouvrage libre de droit (domaine public).
Quelques minutes suffisent à l'Espresso Book Machine pour imprimer un ouvrage, que Google a déjà numérisé. Une manne pour les utilisateurs désirant retrouver en main propre des éditions introuvables, rares ou épuisées.
Google Books - On Demand Books - Espresso Book Machine
L'Espresso Book Machine en action. À voir également en vidéo.
Quelques minutes pour imprimer un ouvrage jusqu'à 800 pages pour ce distributeur automatique à 100 000 dollars (environ 68 000 euros), pouvant atteindre l'édition de 60 000 ouvrages par an. Il est détenu actuellement par quinze universités, banque ou librairies. Quatre autres devraient bientôt s'ajouter.
Le livre ainsi édité devrait être vendu selon les estimations à 8 dollars, un dollar revenant à chacun des deux signataires. Google ayant déclaré pour sa part que ces fonds seraient directement reversés à une œuvre caritative.
[Article rédigé par Romain, béta-contributeur pour Zorgloob.com]"
Google books Les éditeurs vont être ravis...
Tous les lecteurs assidus vous le diront : rien ne remplace le contact physique d'un livre : détenir un objet à soi, une relation presque intime, le plaisir de feuilleter...
Grâce à sa banque de livres numérisés, et suite à l'annonce de passage dans le domaine public de deux millions d'ouvrages, Google et On Demand Books ont signé jeudi 17 septembre un accord de partenariat pour imprimer et 'fabriquer' tout ouvrage libre de droit (domaine public).
Quelques minutes suffisent à l'Espresso Book Machine pour imprimer un ouvrage, que Google a déjà numérisé. Une manne pour les utilisateurs désirant retrouver en main propre des éditions introuvables, rares ou épuisées.
Google Books - On Demand Books - Espresso Book Machine
L'Espresso Book Machine en action. À voir également en vidéo.
Quelques minutes pour imprimer un ouvrage jusqu'à 800 pages pour ce distributeur automatique à 100 000 dollars (environ 68 000 euros), pouvant atteindre l'édition de 60 000 ouvrages par an. Il est détenu actuellement par quinze universités, banque ou librairies. Quatre autres devraient bientôt s'ajouter.
Le livre ainsi édité devrait être vendu selon les estimations à 8 dollars, un dollar revenant à chacun des deux signataires. Google ayant déclaré pour sa part que ces fonds seraient directement reversés à une œuvre caritative.
[Article rédigé par Romain, béta-contributeur pour Zorgloob.com]"
Mes débuts avec AdWords | Combattre la flemme
Mes débuts avec AdWords | Combattre la flemme: "Bon, je me suis lancé, j’ai donc “investi” 15 euros (dont 5 de frais de création du compte) dans AdWords pour faire de la publicité. Puis j’ai pu rajouter 55 euros supplémentaires grâce à un coupon publicitaire dont je ne donnerai l’origine qu’en privé !
Au total donc, me voilà à la tête d’une fortune de 65euros pour lancer des campagnes.
Je décide d’agir de la façon suivante :
* Une campagne pour le site créé en quelques clics chez un partenaire à l’origine du bon de 55euros, pour la forme et histoire de voir si “ça marche”.
* Une campagne pour mon VDM-like Jour ou nuit : en visant des mots clés du domaine de la rencontre, ceci étant suggéré par AdWords et n’ayant pas d’autre inspiration.
* Une campagne pour mon netlabel Mekkanikal Industries : mots clés allant de “mp3″ à “netlabel” en passant par “gothique”…
Pour le moment, j’ai pu constater que les termes “mp3″ (pour le netlabel) et “rencontre” / “tchat” ramènent un peu de monde, j’attend demain soir afin de voir sur Google Analytics si cela a apporté quelque chose ou si les clics n’ont été que décevants (attraits de mp3 gratuits vite refroidi par des artistes inconnus et malentendu sur le contenu du VDM-like…).
Je me suis également dit que des clics de la sorte pourraient avoir un effet bénéfique sur mes pubs AdSense (exemple : un internaute tape “rencontres” dans google, voit “avec qui passeriez-vous un jour ou une nuit ?”, clique en pensant à un truc coquin, arrive sur la page, est déçu puis quitte la page en cliquant sur une pub “toutes les célibataires de ta région”).
J’essayerai d’affiner les mots clés en fonction de mon analyse des stats du site et nous verrons dans un prochain billet comment la situation a évolué…
Et vous, comment se sont passés vos débuts avec AdWords ?"
Au total donc, me voilà à la tête d’une fortune de 65euros pour lancer des campagnes.
Je décide d’agir de la façon suivante :
* Une campagne pour le site créé en quelques clics chez un partenaire à l’origine du bon de 55euros, pour la forme et histoire de voir si “ça marche”.
* Une campagne pour mon VDM-like Jour ou nuit : en visant des mots clés du domaine de la rencontre, ceci étant suggéré par AdWords et n’ayant pas d’autre inspiration.
* Une campagne pour mon netlabel Mekkanikal Industries : mots clés allant de “mp3″ à “netlabel” en passant par “gothique”…
Pour le moment, j’ai pu constater que les termes “mp3″ (pour le netlabel) et “rencontre” / “tchat” ramènent un peu de monde, j’attend demain soir afin de voir sur Google Analytics si cela a apporté quelque chose ou si les clics n’ont été que décevants (attraits de mp3 gratuits vite refroidi par des artistes inconnus et malentendu sur le contenu du VDM-like…).
Je me suis également dit que des clics de la sorte pourraient avoir un effet bénéfique sur mes pubs AdSense (exemple : un internaute tape “rencontres” dans google, voit “avec qui passeriez-vous un jour ou une nuit ?”, clique en pensant à un truc coquin, arrive sur la page, est déçu puis quitte la page en cliquant sur une pub “toutes les célibataires de ta région”).
J’essayerai d’affiner les mots clés en fonction de mon analyse des stats du site et nous verrons dans un prochain billet comment la situation a évolué…
Et vous, comment se sont passés vos débuts avec AdWords ?"
Google Apps Sync l’arme anti Microsoft Exchange | www.GeekomatiK.com
Google Apps Sync l’arme anti Microsoft Exchange | www.GeekomatiK.com: "Pour utiliser Microsoft Outlook en entreprise vous devez acheter (un peu plus de 500€ pour 5 postes) et installer Microsoft Exchange Server pour faire fonctionner les comptes emails de chacun, les calendriers et la gestion des contacts de chaque utilisateur. Dans quelques temps grâce à Google Apps Sync vous n'aurez plus besoin d'avoir à vous équiper avec Exchange Server... Un nouveau pas vers les applications Saas pour les entreprises."
http://tools.google.com/dlpage/res/gappssync/en/coming_soon.html
http://tools.google.com/dlpage/res/gappssync/en/coming_soon.html
Google Books : nouvelles fonctions et ergonomie améliorée | www.GeekomatiK.com
Google Books : nouvelles fonctions et ergonomie améliorée | www.GeekomatiK.com: "Google Books est probablement l’un des services les moins connus de Google (et peut-être aussi l’un des plus décriés), ce qui n’empêche pas Google de continuer à améliorer celui-ci par petites touches.
Le blog de Google Books annonce cette semaine 5 nouveautés visant à améliorer la recherche, mais aussi l’ergonomie et la diffusion des livres déjà contenus dans sa bibliothèque."
http://booksearch.blogspot.com/2009/06/new-features-on-google-books.html
Le blog de Google Books annonce cette semaine 5 nouveautés visant à améliorer la recherche, mais aussi l’ergonomie et la diffusion des livres déjà contenus dans sa bibliothèque."
http://booksearch.blogspot.com/2009/06/new-features-on-google-books.html
google | tutorial gmail
google | www.GeekomatiK.com: "ême si vous vous sentez à l’aise avec Gmail, allez jeter un coup d’œil sur le mode d’emploi du service, il se peut que vous trouviez une petite astuce qui vous fasse gagner en productivité. C’est en anglais mais ça permet de trouver quelques informations intéressantes."
google | Cocoaslideshow, Visualiseur d’images avec géo-localisation
google | www.GeekomatiK.com: "Cocoaslideshow, Visualiseur d’images avec géo-localisation
Cocoaslideshow est un logiciel qui permet de visualiser des images en mode standard ou en Slideshow et il est possible en fonction des données Exif de vos photos de géo-localiser l'endroit où celles-ci ont été prisent."
Cocoaslideshow est un logiciel qui permet de visualiser des images en mode standard ou en Slideshow et il est possible en fonction des données Exif de vos photos de géo-localiser l'endroit où celles-ci ont été prisent."
google | www.GeekomatiK.com
google | www.GeekomatiK.com: "Le webmaster est souvent à l’affut des outils d’analyse pour améliorer le référencement de son site, pensez à utiliser Google Webmaster Tools, il offre quelques outils d’analyse qui permettront d’améliorer et de corriger certaines erreurs de votre site."
google | www.GeekomatiK.com
google | www.GeekomatiK.com: "Apps Status Dashboard de Google enfin en Français
Pratique, cet Apps Status Dashboard de Google, permettant de connaître en temps réel l’état des services proposés par le “king de l’internet” (Gmail, Google Agenda, Google Talk, Google Docs, etc…) Et bien vous savez quoi ? Le dashboard en question vient d’être traduit en Français. Et c’est par là."
http://www.google.com/appsstatus#hl=fr
Pratique, cet Apps Status Dashboard de Google, permettant de connaître en temps réel l’état des services proposés par le “king de l’internet” (Gmail, Google Agenda, Google Talk, Google Docs, etc…) Et bien vous savez quoi ? Le dashboard en question vient d’être traduit en Français. Et c’est par là."
http://www.google.com/appsstatus#hl=fr
google | www.GeekomatiK.com
google | www.GeekomatiK.com: Google Documents intègre la traduction
Tiens, en ce moment, ça bouge pas mal chez Google. Comme quoi, les vacances, ce n’est pas pour tout le monde, hein… Faut dire aussi, avec le pouvoir d’achat qui s’effondre, ce n’est pas vraiment étonnant. Cela dit, les gars de l’autre côté de l’océan viennent tout juste d’intégrer leur fameux outil de traduction à Google Documents."
http://www.fredzone.org/tag/google-docs
Tiens, en ce moment, ça bouge pas mal chez Google. Comme quoi, les vacances, ce n’est pas pour tout le monde, hein… Faut dire aussi, avec le pouvoir d’achat qui s’effondre, ce n’est pas vraiment étonnant. Cela dit, les gars de l’autre côté de l’océan viennent tout juste d’intégrer leur fameux outil de traduction à Google Documents."
http://www.fredzone.org/tag/google-docs
Google Wave - Wikipédia
Google Wave - Wikipédia: "Google Wave est un projet annoncé par Google pendant la conférence Google I/O[1] du 28 mai 2009. Il s'agira d'une application web regroupant des services de courriel, de messagerie instantanée, de wiki et de réseautage social, mâtiné d'un correcteur orthographique et d'un traducteur instantané, lesquels peuvent travailler de concert. Google Wave n'est pour le moment disponible qu'en bêta privée.
Google a annoncé une première phase de test béta pour le 30 septembre 2009 avec la distribution de 100 000 comptes[2] aux personnes qui se seront inscrites sur leur site[3] avec la volonté de reporter les bogues.
Protocole et API [modifier]
Google a annoncé que ce service proposera un protocole ouvert, le Google Wave Federation Protocol, qui pourra être utilisé pour créer un ensemble Wave personnalisé[4]. Une API sera également mise en place pour étendre les fonctionnalités du client et du serveur via des extensions[5]. Google indique également que la majeure partie du code source sera publiée en Open Source.
Google Wave est créé grâce au Google Web Toolkit."
Google a annoncé une première phase de test béta pour le 30 septembre 2009 avec la distribution de 100 000 comptes[2] aux personnes qui se seront inscrites sur leur site[3] avec la volonté de reporter les bogues.
Protocole et API [modifier]
Google a annoncé que ce service proposera un protocole ouvert, le Google Wave Federation Protocol, qui pourra être utilisé pour créer un ensemble Wave personnalisé[4]. Une API sera également mise en place pour étendre les fonctionnalités du client et du serveur via des extensions[5]. Google indique également que la majeure partie du code source sera publiée en Open Source.
Google Wave est créé grâce au Google Web Toolkit."
Google Wave API - Google Code
Google Wave API - Google Code: "What is the Google Wave API?
The Google Wave API allows developers to use and enhance Google Wave through two primary types of development:
* Extensions: Build robot extensions to automate common tasks or build gadget extensions to provide a new way for users to interact
* Embed: Make your site more collaborative by dropping in a Wave
Google Wave is currently available in a developer preview as the APIs and product continue to evolve. Accounts on the developer sandbox will be given out to people intending to build with the Google Wave APIs prior to the public release.
For more information about the capabilities and use cases for each development option, consult the Wave Developer's Guide."
The Google Wave API allows developers to use and enhance Google Wave through two primary types of development:
* Extensions: Build robot extensions to automate common tasks or build gadget extensions to provide a new way for users to interact
* Embed: Make your site more collaborative by dropping in a Wave
Google Wave is currently available in a developer preview as the APIs and product continue to evolve. Accounts on the developer sandbox will be given out to people intending to build with the Google Wave APIs prior to the public release.
For more information about the capabilities and use cases for each development option, consult the Wave Developer's Guide."
Google Wave Preview
Google Wave Preview: "Google Wave is a new tool for communication and collaboration on the web, coming later this year. Watch the demo video below, sign up for updates and learn more about how to develop with Google Wave."
Google Chrome: Redefining The Operating System
Google Chrome: Redefining The Operating System: "Last year I wrote a post about the just launched Chrome browser titled Meet Chrome, Google’s Windows Killer. From that article:
Chrome is nothing less than a full on desktop operating system that will compete head on with Windows…Expect to see millions of web devices, even desktop web devices, in the coming years that completely strip out the Windows layer and use the browser as the only operating system the user needs."
Chrome is nothing less than a full on desktop operating system that will compete head on with Windows…Expect to see millions of web devices, even desktop web devices, in the coming years that completely strip out the Windows layer and use the browser as the only operating system the user needs."
Purists complained that a browser isn’t actually an operating system, and brought up mundane issues about hardware drivers, memory and processor management, and other red herrings. Sure, they were right – the Chrome browser isn’t an operating system. It is, you could say, sans the bag of drivers needed to meet the definition. Still, the writing was on the wall – Google quite clearly saw Chrome
as an operating system that competes with Windows.
Fast forward to today. The Chrome browser now has 30 million active users, says Google, and tracking services say it has 6% or so market share. Not bad for a browser that’s less than a year old.
And now, WOW. Google just bolted a big ol’ bag of drivers (also known as the Linux kernel) to Chrome and are calling it the Google Chrome Operating System. It’s going to be hard for people to continue to deny its operating systemness now.
The new OS will focus entirely on the web: “The software architecture is simple — Google Chrome running within a new windowing system on top of a Linux kernel. For application developers, the web is the platform.” What that means is this. The browser is the platform. The browser is the UI.
Now, finally, even the tech purists can see the light at the end of the tunnel. Windows is hardware management plus an application platform, and we call that an OS. Chrome OS is hardware management plus an application platform (the browser), and we call that an OS, too.
Don’t worry about those desktop apps you think you need. Office? Meh. You’ve got Zoho and Google Apps. You won’t miss office. Chrome plus Gears plus Google Wave plus HTML 5 and web platforms like Flash and Silverlight all combine into a single wonderful computing device. The Internet Is Everything. All the OS has to do is boot the damn computer, get me to a browser as fast as possible and then stay the hell out of the way.
Chrome will do just that. And it will be free, unlike Windows. Forget the netbooks, which Google is targeting initally. We’ll see PCs of all types being sold by the major manufacturers as soon as Google gets this out of beta next year. Microsoft has a very serious competitive threat to the core of their revenues. Every Chrome computer bought won’t have Windows and won’t have Office. That must send chills down the spine of the guys up in Redmond. But hey, at least they can now point to Google when the antitrust guys come knocking. Someone other than them are bundling the operating system and browser into one neat package.
Google takes on Microsoft with Chrome operating system - Times Online
Google takes on Microsoft with Chrome operating system - Times Online:
"“Speed, simplicity and security are the key aspects of Google Chrome OS,” said Sundar Pichai, a Google Vice President,
S S S
Speed Simplicity Security
and Linus Upson, engineering director, in a blog post. “We're designing the OS to be fast and lightweight, to start up and get you on to the web in a few seconds.”"
"“Speed, simplicity and security are the key aspects of Google Chrome OS,” said Sundar Pichai, a Google Vice President,
S S S
Speed Simplicity Security
and Linus Upson, engineering director, in a blog post. “We're designing the OS to be fast and lightweight, to start up and get you on to the web in a few seconds.”"
The Web browser is Google's operating system.
Google Announces Chrome OS - PC World: "When Google first introduced the Chrome browser last year, I remarked in my review that 'In the past there has been some speculation that Google would develop its own operating system, but I think that Chrome's launch makes one thing is clear: The Web browser is Google's operating system.'"
While Chrome OS goes beyond being a mere Web browser, Google's vision of the future is as clear with Chrome OS as it was with the introduction of the Chrome browser: The Web is the OS of the future, and a modern OS needs to be built around the Web first. In fact, in the announcement, Google flatly states, "For application developers, the web is the platform." Even better: "And of course, these apps will run not only on Google Chrome OS, but on any standards-based browser on Windows, Mac and Linux thereby giving developers the largest user base of any platform."
While Chrome OS goes beyond being a mere Web browser, Google's vision of the future is as clear with Chrome OS as it was with the introduction of the Chrome browser: The Web is the OS of the future, and a modern OS needs to be built around the Web first. In fact, in the announcement, Google flatly states, "For application developers, the web is the platform." Even better: "And of course, these apps will run not only on Google Chrome OS, but on any standards-based browser on Windows, Mac and Linux thereby giving developers the largest user base of any platform."
Google Chrome OS - english
see Google Chrome OS - Wikipedia, the free encyclopedia:
"Google Chrome OS is a project by Google Inc. to develop a lightweight computer operating system devoted to using the World Wide Web.[1]
Announced on July 7, 2009, it is based on Google's Chrome web browser and the Linux kernel.
It is set to be released during the second half of 2010.[3]
It will run on systems with either x86 or ARM processors.[4]
Google has stated that the Google Chrome OS project will be open source[5] by the end of 2009, and that it will use 'a new windowing system',[6] as opposed to the X Window System, which is the standard for Linux."
Cloud computing will be a large part of its design. It has stated that, for developers, "the web is the platform".[6] The Chrome OS is being targeted at users who spend most of their computer time on the Internet,[7]
"Google Chrome OS is a project by Google Inc. to develop a lightweight computer operating system devoted to using the World Wide Web.[1]
Announced on July 7, 2009, it is based on Google's Chrome web browser and the Linux kernel.
It is set to be released during the second half of 2010.[3]
It will run on systems with either x86 or ARM processors.[4]
Google has stated that the Google Chrome OS project will be open source[5] by the end of 2009, and that it will use 'a new windowing system',[6] as opposed to the X Window System, which is the standard for Linux."
Cloud computing will be a large part of its design. It has stated that, for developers, "the web is the platform".[6] The Chrome OS is being targeted at users who spend most of their computer time on the Internet,[7]
- ^ Mediati, Nick (2009-07-07). "Google Announces Chrome OS". PC World. http://www.pcworld.com/article/168028/google_announces_chrome_os.html. Retrieved 2009-07-08.
- ^ Bobbie Johnson (2009-07-08). "Google targets Microsoft with new operating system". The Guardian. http://www.guardian.co.uk/technology/blog/2009/jul/08/google-chrome-operating-system. Retrieved 2009-07-08.
- ^ Ahmed, Murad (2009-07-08), Google takes on Microsoft with Chrome operating system, Times Online, http://technology.timesonline.co.uk/tol/news/tech_and_web/article6665703.ece, retrieved 2009-07-08
- ^ a b Womack, Brian (2009-07-08). "Google to Challenge Microsoft With Operating System". Bloomberg.com. http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=20601087&sid=aTd2k.YdQZ.Y. Retrieved 2009-07-08.
- ^ Shiels, Maggie (2009-07-08). "Google to launch operating system". BBC News. http://news.bbc.co.uk/1/hi/technology/8139711.stm. Retrieved 2009-07-08.
- ^ a b Arrington, Michael (2009-07-08). "Google Chrome: Redefining The Operating System". TechCrunch. http://www.techcrunch.com/2009/07/08/google-chrome-redefining-the-operating-system/. Retrieved 2009-07-08.
- ^ Hansell, Saul (2009-07-08). "Would you miss Windows with a Google operating system?". New York Times. http://bits.blogs.nytimes.com/2009/07/08/would-you-miss-windows-with-a-google-operating-system/. Retrieved 2009-07-08.
Cloud computing can be confused with:
- grid computing—"a form of distributed computing whereby a 'super and virtual computer' is composed of a cluster of networked, loosely coupled computers, acting in concert to perform very large tasks";
- utility computing—the "packaging of computing resources, such as computation and storage, as a metered service similar to a traditional public utility such as electricity";[7] and
- autonomic computing—"computer systems capable of self-management".[8]
Indeed, many cloud computing deployments as of 2009[update] depend on grids, have autonomic characteristics, and bill like utilities—but cloud computing tends to expand what is provided by grids and utilities. Some successful cloud architectures have little or no centralized infrastructure or billing systems whatsoever, including peer-to-peer networks such as BitTorrent and Skype, and volunteer computing such as SETI@home.
Cloud standards, a number of existing, typically lightweight, open standards, have facilitated the growth of cloud computing, including:
- Application
- Client
- Implementations
- Platform
- Service
- Data (XML, JSON)
- Web Services (REST)
- Storage
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