Chercher sans se lasser, croire avoir trouver et in fine démonter les ficelles de la société Google en les utilisant. Blog aussi sur Web 2.0, interoperabilité, Sciences & langages & neurosciences). En 1943, Valentin, le chef de la Légion des combattants nommé par Pétain, rejoint Londres et fait diffuser un message d'autocritique et dénonce la faute toujours présente: "On ne reconstruit pas sa maison pendant qu’elle flambe!". SAPERE AUDE!

samedi 9 mai 2009

Unstructured Supplementary Service Data - Wikipédia

Unstructured Supplementary Service Data - Wikipédia: "L’USSD, Unstructured Supplementary Service Data peut se traduire en Données de Service Supplémentaires Peu Structurées. Il s'agit d'une fonctionnalité des téléphones GSM. Il est généralement associé aux services de téléphonie de type temps réel ou de messagerie instantanée. Il n'y a aucune possibilité d'enregistrement et transfert qui est typique aux messages courts 'normaux' (autrement dit, un SMSC n'est pas présent sur le circuit de traitement). Les temps de réponse pour des services basés USSD interactifs sont généralement plus rapides que ceux utilisés pour SMS.

En comparaison, USSD est semblable à telnet, tandis qu’un SMS est semblable à un mail. On pourrait aussi dire que l'USSD, c'est un SMS sans mémoire, à savoir que ce sont des paquets de structure très semblable et usant des mêmes chemins (sans équivalent SMSC pour l'USSD) mais que l'utilisateur qui devient indisponible après la sollicitation d'un service USSD ne le recevra jamais car le paquet non délivré n'est pas resoumis ni gardé nulle part en mémoire.

USSD est typiquement utilisé comme 'un déclencheur' pour invoquer les appels de services indépendants qui n'exigent pas les dépenses d'utilisation aériennes et complémentaires d'un SMSC, comme un service de rappel de service (un suivi de consommation, crédit restant sur votre compte), ou le service de menu interactif (par exemple des cours de la bourse, des résultats sportifs).

USSD est une norme pour transmettre l'information sur des canaux de signaux GSM. Il est surtout utilisé comme une méthode de suivi du solde disponible et d'autre information semblable pour les services GSM pré-payés comme les comptes mobiles (#123# pour les mobicartes d’Orange par exemple).

les codes USSD sont de la forme : (%)(%)%1XY(*text)# où () indique un élément optionnel % vaut # ou * X et Y sont deux chiffres (0 à 9). text est un élément alphanumérique de longueur variable. Les codes de 100 à 149 sont utilisés par un opérateur pour ses clients, les codes 150 à 199 pour les clients d'autres opérateurs en roaming sur son réseau.


Exemple de codes USSD utilisés par Orange :

* #123# (Orange suivi conso)
* #122*06xxxxxxxx# (Orange : Votre correspondant reçoit un SMS : « Le 06.xx.xx.xx.xx cherche à vous joindre et souhaiterait que vous le rappeliez. »)
* #125# (Orange : Obtenir un no d’acces Wi-Fi)
* #124*xxxxxxxxxxxxxx# (rechargement en indiquant les 14 chiffres de la carte à gratter / ticket)
* #102# (serveur de chat)
* #126*06xxxxxxxx# (Orange : Votre correspondant reçoit un SMS : « Le 06xxxxxxxx souhaite que vous rechargiez son compte ! [...] »)

Après l'entrée d’un code d'USSD dans votre téléphone GSM, la réponse de l'opérateur GSM est remontée dans les secondes suivantes. Sur les portables Orange, par exemple, l'USSD permet de demander, entre autres fonctionnalités, le suivi de consommation. Après une manœuvre simple (#123#), le consommateur reçoit le suivi en moins de deux secondes. L'USSD permet également une gestion d'appel à des services par menus en une forme de navigation par sollicitation générant un nouvel USSD jusqu'à obtention du service final."

Ecriture sur une partition NTFS depuis Mac OS X - Forum Mac

Les dev officiels ont décidé de réaliser un seul paquet qui installe tout ce qu'il faut.
Celui-ci est désormais disponible en première version sous le non "NTFS for Mac".
Vous pouvez le récupérer à cette adresse :
http://www.macupdate.com/info.php/id/30449/ntfs-for-mac




old (2007):

Ecriture sur une partition NTFS depuis Mac OS X - Forum Mac: "Voici un package réalisé par ShadowOfGed d'AppleNova.
Pour une installation la plus simple possible.
Il s'agit bien sur de la dernière version de NTFS-3G, qui porte le nom 1.0
voici les liens pour les téléchargements directs des dernières versions :

* MacFUSE Tools: MacFUSE Tools 0.2.2.dmg
* NTFS-3G: NTFS-3G 1.0.dmg
* Bundle (NTFS-3G and MacFUSE Tools): NTFS-3G 1.0 (Full).dmg"

http://idisk.mac.com/shadowofged/Public/Software/MacFUSE/MacFUSE%20Tools%200.2.2.dmg

http://idisk.mac.com/shadowofged/Public/Software/NTFS-3G/NTFS-3G%201.0%20%28Full%29.dmg

Ecriture sur une partition NTFS depuis Mac OS X - Forum Mac

Ecriture sur une partition NTFS depuis Mac OS X - Forum Mac: "Voici enfin une bidouille qui marche pour pouvoir écrire depuis OS X sur une partition ou un disque formatté en NTFS, le format utilisé notamment par Windows XP et récemment Windows Vista.

La manipulation n'en est encore qu'à ses débuts donc personne n'est à l'abri d'une mauvaise surprise donc encore une fois, ayez toujours un backup de vos données !!! vous seul pouvez être tenu comme responsable en cas de problème

1) Télécharger et installer ce qui est nécessaire ::
Pack NTFS-3G + MacFUSE Tools

2) Connaître le nom et l'identifiant de la partition NTFS ::
pour cela, ouvrez un Terminal ( Applications > Utilitaires ) et tapez :
diskutil list
notez l'identifiant et le nom de votre partition

3) Créer un point de montage pour la partition en NTFS ::
toujours dans le terminal, tapez :
sudo mkdir /Volumes/'Windows'
où 'Windows' sera remplacé par le nom de votre partition trouvé au point 2)

4) Monter la partition en NTFS ::
toujours dans le terminal, tapez :
ntfs-3g /dev/disk0s3 /Volumes/'Windows' -o ping_diskarb,volname='Windows'
où vous remplacez disk0s3 par l'identifiant de votre partition NTFS et Windows par le nom de votre partition NTFS trouvés au point 2)

Vous devriez alors voir votre partition en NTFS monter sur votre bureau.
Si ça n'est pas le cas, relancez simplement le Finder.

Remarque ::
Vous devrez réaliser les points 3) et 4) à chaque fois que vous voudrez monter une partition en NTFS.
En effet, l'utilitaire de disque n'est plus capable de les faire monter (d'ailleur vous devriez voir que le format de la partition à changé de nom)."

--------------------
pour ceux que ça intéresse et que ça gêne de taper à chaque fois ce qu'il faut dans le terminal, on va créer un applescript :
1) ouvrir automator,
2) sélectionner l'application automator, ajouter une action "exécuter un script apple" et y coller :

Code:

on run {input, parameters}
set pw to "mon_mot_de_passe"
do shell script "sudo mkdir /volumes/WinXP" password pw with administrator privileges
end run

où vous remplacez WinXP par le nom de votre partition en NTFS et mon_mot_de_passe par votre mot de passe

3) ajouter une deuxième action "exécuter un script apple" et y coller :

Code:

on run {input, parameters}
tell application "Terminal"
activate
do script "sudo ntfs-3g /dev/disk0s4 /Volumes/WinXP -o ping_diskarb,volname=WinXP" in window 1
end tell
return input
end run

où vous remplacez WinXP par le nom de votre partition en NTFS et disk0s4 par l'identifiant de cette partition

4) fichier > enregistrer sous ... et définir le format de fichier par application

de cette manière, en exécutant ce script il faudra juste entrer votre mot de passe
plus simple, plus court et donc plus pratique

Ecriture sur une partition NTFS depuis Mac OS X - Forum Mac

Ecriture sur une partition NTFS depuis Mac OS X - Forum Mac: "Voici enfin une bidouille qui marche pour pouvoir écrire depuis OS X sur une partition ou un disque formatté en NTFS, le format utilisé notamment par Windows XP et récemment Windows Vista.

La manipulation n'en est encore qu'à ses débuts donc personne n'est à l'abri d'une mauvaise surprise donc encore une fois, ayez toujours un backup de vos données !!! vous seul pouvez être tenu comme responsable en cas de problème

1) Télécharger et installer ce qui est nécessaire ::
Pack NTFS-3G + MacFUSE Tools

2) Connaître le nom et l'identifiant de la partition NTFS ::
pour cela, ouvrez un Terminal ( Applications > Utilitaires ) et tapez :
diskutil list
notez l'identifiant et le nom de votre partition

3) Créer un point de montage pour la partition en NTFS ::
toujours dans le terminal, tapez :
sudo mkdir /Volumes/'Windows'
où 'Windows' sera remplacé par le nom de votre partition trouvé au point 2)

4) Monter la partition en NTFS ::
toujours dans le terminal, tapez :
ntfs-3g /dev/disk0s3 /Volumes/'Windows' -o ping_diskarb,volname='Windows'
où vous remplacez disk0s3 par l'identifiant de votre partition NTFS et Windows par le nom de votre partition NTFS trouvés au point 2)

Vous devriez alors voir votre partition en NTFS monter sur votre bureau.
Si ça n'est pas le cas, relancez simplement le Finder.

Remarque ::
Vous devrez réaliser les points 3) et 4) à chaque fois que vous voudrez monter une partition en NTFS.
En effet, l'utilitaire de disque n'est plus capable de les faire monter (d'ailleur vous devriez voir que le format de la partition à changé de nom)."

Problème Western Digital My Book 500Gb/Go

Problème Western Digital My Book 500Gb/Go: "Bonjour,

Je viens de faire l'acquisition d'un My Book de 500Gb que je voulais utiliser pour faire une sauvegarde Time Machine et pour mettre des fichiers que je puisse partager avec mes amis (la plupart sous Windows). Lorsque j'ai branché mon My Book, mon Mac m'a demandé si je voulais l'utiliser pour Time Machine, ce à quoi j'ai répondu 'oui' puis il m'as ensuite demander de formater mon My Book, ce à quoi j'ai répondu 'oui' encore une fois.
Time Machine m'a donc fait ma sauvegarde, seulement, l'icône de mon My Book est devenue celle de Time Machine. J'ai donc voulu tester la fonction de disque dur externe en mettant un fichier dans mon My Book, dans un dossier créé et nommé 'Essai', puis j'ai brancher mon My Book a un Sony Vaio sous Windows XP : impossible de trouver le My Book. L'USB a était détecté mais le disque dur n'apparaissait pas dans le poste de travail. Je pense donc qu'il est possible que j'ai effacé des fichiers présents dans le My Book et nécessaire à son utilisation en tant que disque dur externe en le formatant, et qu'il m'aurait peut-être fallu le partitionner au préalable. J'ai donc comme questions :

- Savez-vous s'il existe des fichiers présent sur le My Book et donc nécessaires à son utilisation en tant que disque dur externe, si oui, comment (éventuellement où) puis-je les récupérer ?

- Comment partitionner mon My Book (si nécessaire) sachant que j'ai déjà fait ma sauvegarde et que je préfèrerais ne pas l'effacer (si impossible, je la referais, tant pis) ?"

---------
le système de fichier par défaut des Macs est HFS/HFS+, que les PC ne savent pas lire.
avoir autorisé Time Machine à formater le disque explique ce pb.

voir un logiciel commercial pour lire le HFS sous Windows : MacDrive

->
ATTENTION
NTFS est en lecture seule sur Mac il semble, donc il faut utiliser FAT32.

http://www.debutersurmac.com/tutoriels/utilitairededisque.html#DDE

Création d'image Système (Ghost) - La solution

Création d'image Système (Ghost) - La solution: "Créer une image (ghost) de partition

* 1 - Intérêt
* 2 - Pré-requis
o 2.1 - Explication
o 2.2 - Opportunités des partitions
o 2.3 - Mise à jour des images
+ 2.3.1 - Image incrémentale : intéressant mais dangereux !
+ 2.3.2 - Image incrémentale et stratégie de sécurité
+ 2.3.3 - Logiciels sachant créer des images incrémentales
o 2.4 - Cloner des configurations différentes
* 3 - Conseils de base très importants
o 3.1 - Faites des sauvegardes régulières
o 3.2 - Faites un chkdsk !
o 3.3 - Faites le ménage !
o 3.4 - Défragmentez !
o 3.5 - Laissez travailler !
o 3.6 - Prévoyez une partition cible (de stockage)
o 3.7 - Pas de gravure directe !
o 3.8 - Vérifiez vos images systèmes et vos gravures !
* 4 - Les logiciels
o 4.1 - Windows
+ 4.1.1 - Gratuits
+ 4.1.2 - Payants
o 4.2 - Linux
* 5 - Solutions de secours
o UltimateBootCD
o SystemRescueCD
o CD LinuxLive
* 6 - Sauvegarde de la MBR
* 7 - Trucs et astuces sous Linux
* 8 - Cloner sous MS-DOS
* Voir également








Une image Système -nommée aussi 'image Ghost' ou 'Ghost' en raison d'une solution logicielle fort connue- est une sauvegarde de l'intégralité du contenu d'une partition (voire de l'ensemble de plusieurs partitions). Aucune distinction n'est faite dans ce contenu. On peut dire qu'une image Système est la 'photocopie' (fidèle) de la partition à l'instant T (T étant l'heure de la sauvegarde).

Il faut donc distinguer l'image Système de la sauvegarde de données. Généralement, les données sont sauvegardées en continu ou très régulièrement, en sélectionnant les répertoires à prendre en compte et souvent de manière incrémentale.

Le système change peu souvent et il n'y a donc pas d'intérêt à faire fréquemment une image. Pour créer une image, il faut choisir la partition et non des répertoires. La sauvegarde incrémentale consiste à sauvegarder tout ce qui est spécifié la première fois, puis seulement les fichiers modifiés par la suite en gardant séparée une copie du fichier original. Sauvegarde de données et image Système sont donc bien éloignées par leur but et leur méthode.
1 - Intérêt

Tout peut survenir ! Un virus ou un troyen, voire un spyware, met la panique dans le système. L'installation ou la mise à jour d'un logiciel ou d'un pilote a rendu le système instable ou, pire, hors service. Un choc électrique détruit des composants (carte mère ...).

Or, Windows XP oblige à réinstaller entièrement s'il y a changement de carte mère (sauf si elle est remplacée par une autre aux caractéristiques strictement identiques).

Combien de temps allez-vous perdre ? Réinstaller Windows, et juste lui, va durer au minimum 1 heure ! A cela, rajoutons le temps d'installation des périphériques et logiciels ! Je ne sais pas pour vous mais dans mon cas, réinstaller Windows depuis le départ me coûtera 1 semaine au moins ! Beaucoup de logiciels, autant de paramétrages personnalisés des applications et du système, sécuriser et patcher ... Tout cela par étape afin de valider la stabilité et alors que j'ai d'autres urgences !

D'où l'intérêt de créer une image du système. La création me prend 3 minutes de préparation et dure 30 minutes alors que la restauration de cette image est achevée en 15 minutes (Athlon 2400XP+, 1 Go de RAM, le disque Windows faisant 12 Go et étant rempli à 10 Go).
2 - Pré-requis

Tout d'abord, créer une image du système impose :

* de posséder une autre partition pour enregistrer l'image,
* de neutraliser le fonctionnement du système.


2.1 - Explication

Il est impossible de créer une image du système dans son propre disque en cours d'opération. Cela reviendrait à effectuer des calculs sur X dont le résultat dépendrait très fortement de X mais avec tellement de variables que le recours aux équations à multiples inconnues est impossible !

Il faut donc stocker cette image ailleurs : un autre disque, sur CD.... Mais aussi,

* soit créer l'image sous un autre système (linux, un autre Windows, MS-DOS),
* soit 'verrouiller' le fonctionnement du système : empêcher qu'il puisse effectuer d'autres tâches dans le but que les données du système ne soient sans cesse modifiées et non 'photocopiables',
* soit démarrer directement sur un CD ou un jeu de disquettes pour éviter que le système fonctionne.


2.2 - Opportunités des partitions

La plupart des utilisateurs sous Windows laissent leur répertoire 'Mes documents' exactement là où il se trouve par défaut, dans la partition de Windows.

Or, après une restauration du système, il faut donc aussi restaurer les données personnelles, si une sauvegarde existe. Pourquoi ne pas délocaliser sur une autre partition et ainsi éviter de devoir restaurer aussi cette partie ? Cela n'exclut pas le besoin de sauvegarder, bien au contraire (crash disque).

À y être, délocalisez également les fichiers temporaires (/Temp) et les fichiers Internet Temporaires. Voire également, le fichier Swap de Windows. Cela fera une économie en fichiers à défragmenter sur le disque du système.

L'avantage de délocaliser les fichiers et répertoires très souvent modifiés est que la fragmentation de la partition Système est moindre et l'image du Système plus petite.

Sur le partitionnement, voir : Partitionner
2.3 - Mise à jour des images

Vous avez créé une première image du système mais depuis votre système a été modifié. Logiquement, vous désirez mettre à jour l'image système. Devez-vous refaire une nouvelle image ou partir de l'image existante pour la modifier ?
2.3.1 - Image incrémentale : intéressant mais dangereux !

Un fichier image système ne s'édite pas pour pouvoir ensuite le modifier. Pour modifier une image système, il y a obligation de repartir à zéro. Cependant, certains programmes savent faire des clonages incrémentaux. Le clonage incrémental consiste à ne copier que les fichiers modifiés ou nouveaux. Mais ne rêvons pas ! Tout cela est encapsulé au sein d'un seul fichier qui n'est gérable que par le logiciel de création d'image.

Quel est l'intérêt d'une sauvegarde incrémentale ? En théorie, un temps de création plus court puisque seuls les fichiers nouveaux ou modifiés sont copiés dans l'image.

Mais si le système comporte tout récemment des virus, troyens, vers, spywares ou autres méchancetés du même style, ces horreurs seront à coup sûr incluses dans l'image incrémentale puisque ce seront des fichiers nouveaux ou modifiés ! Donc, l'image ne sera plus saine mais subitement corrompue !
2.3.2 - Image incrémentale et stratégie de sécurité

Généralement, il est possible de planifier la création - maintenance d'image incrémentale. Donc soyez sur vos gardes ! Maintenez une vigilance constante pour avoir un système sain :

* un antivirus constamment à jour,
* un pare-feu bien réglé et à jour,
* éviter certains sites sensibles (warez, X ...),
* garder à l'esprit que le P2P est très dangereux (juridiquement autant qu'au niveau des virus),
* ne pas ouvrir n'importe quel fichier les yeux fermés (pièces jointes de courriels ....),
* éviter certains logiciels (Microsoft Internet Explorer et Outlook remplaçables par Mozilla ou Firefox et Thunderbird ....).



En cas de problèmes, agissez très vite ! Voir : FAQ/Sécurité
2.3.3 - Logiciels sachant créer des images incrémentales

Pour le moment, il n'existe que trois logiciels qui savent réaliser des images incrémentales :

* PolderBackup - Anglais - gratuit
* Ghost -depuis la version9- (Symantec - Norton) Français - payant
* PC Cloneur (Micro Application) Français - payant


Voir liens et descriptions plus bas.
2.4 - Cloner des configurations différentes

Une image système (clone) correspond à une configuration précise et immuable. Pour installer une image sur plusieurs configurations différentes, il faut réaliser une image de base donc à partir d'un système n'ayant pas de pilote (voire également de programmes, du moins sans les programmes tributaires de la configuration). À charge ensuite d'ajouter les pilotes nécessaires selon les configurations de chaque machine.

Rien n'empêche de réaliser une image système -gravable- puis modifier la configuration et refaire l'image système. C'est ce que je fais ;-)))
3 - Conseils de base très importants

3.1 - Faites des sauvegardes régulières

Un crash ne prévient pas ! De plus, l'erreur est humaine donc, même si vous êtes doués en informatique, vous n'êtes pas à l'abri d'une mauvaise manipulation. Tout logiciel ne fait que ce qui lui a été demandé et pas davantage. Et il le fait tel que spécifié dans sa programmation initiale. Heureusement, les machines sont encore loin du stade de Terminator et c'est par conséquent l'Humain qui ordonne ! Faire une image du système n'exonère pas de sauvegarder vos données personnelles.
3.2 - Faites un chkdsk !

L'opération s'avère longue ! Cependant, vous n'avez nul besoin de le faire toutes les semaines ! Tous les 2 ou 3 mois suffira. Surtout si vous sollicitez peu le disque (peu de données). Le chkdsk vérifie les structures du système de fichier afin de corriger les erreurs.

Ouvrez une fenêtre de commande MS-Dos et tapez: chkdsk c: /F

S'il vous propose de faire un test au prochain redémarrage, confirmer en tapant O et ENTREE puis redémarrez l'ordinateur.
3.3 - Faites le ménage !

Videz la corbeille, supprimez les fichiers temporaires et fichiers Internet Temporaires. Cela facilitera la tâche suivante.
3.4 - Défragmentez !

A la base, tous les fichiers sont enregistrés les uns après les autres sur le disque dur. Pour éviter de perdre trop de place, le fichier est découpé en petits morceaux et stocké sur de petites fractions du disque ; ce sont les clusters. Lorsque vous modifiez un fichier (mise à jour, déplacement, suppression), deux cas sont possibles. Soit la taille a diminué, soit augmenté. S'il y a diminution, puisqu'il existe un autre fichier à la suite, une place se libère entre les deux fichiers. Or, cette place vidée ne sera pas forcément reprise par un nouveau fichier ultérieurement parce que trop exiguë. Résultat, les fichiers vont se trouver éparpillés en multiples morceaux dans tous les recoins du disque dur. Par conséquent, les temps d'accès aux fichiers vont se rallonger ! C'est comme si les livres de plusieurs collections étaient éparpillés au sein de la bibliothèque : vous allez mettre du temps à trouver le bon exemplaire. Il faut ranger. Et plus vous attendrez, plus de temps sera nécessaire !

Et c'est bien ce que fait le défragmenteur : rassembler toutes les bribes de fichiers. L'opération durera encore davantage si vous utilisez ces fichiers en cours de reconstitution ! Évitez donc de travailler. D'autre part, plus il existe sur le disque d'espace libre, mieux c'est pour la rapidité de la défragmentation. Voir :

* defrag


3.5 - Laissez travailler !

Pendant la création de l'image, il est impératif de laisser travailler la machine sans rien demander de plus. A moins que vous ne cherchiez à planter machine et image système !
3.6 - Prévoyez une partition cible (de stockage)

Elle sera de taille au moins égale à la partition source (à sauvegarder). Cela vous évitera des surprises même en compressant l'image.
3.7 - Pas de gravure directe !

Certains logiciels permettent de graver directement l'image. Abandonnez ! Choisissez comme options de fractionner l'image pour qu'elle tienne sur CD ou DVD et stockez-la sur disque dur. Vous la graverez plus tard avec votre logiciel habituel. Cela vous évitera de constater trop tard qu'un CD est corrompu, donc l'image inexploitable ! Graver avec le logiciel dédié permet de vérifier l'état de la gravure et de reprendre un CD mauvais.
3.8 - Vérifiez vos images systèmes et vos gravures !

Au moment fatal de devoir restaurer, certains s'aperçoivent que l'image système est défectueuse -l'image même ou la gravure. Autant prévenir le risque ! Ce ne sera pas la faute du logiciel mais la vôtre !
4 - Les logiciels

Les solutions existent en plusieurs déclinaisons :

* sur disquette,
* sur CD bootable (CD qui peut démarrer tout seul et sans aucun environnement Système, le CD faisant office de système d'exploitation à lui tout seul),
* directement sous environnement Système (Windows ou GNU/Linux)



Vous pouvez avoir besoin de créer l'image Système via une disquette ou un CD bootable. Parce que vous ne pouvez démarrer sur le système mais que vous désirez vous réserver la possibilité de récupérer ultérieurement des données.

Créer l'image sous environnement Système est valable aussi car, outre une meilleure ergonomie, cela permet de sauvegarder un autre système (si machine multi-systèmes) mais aussi de sauvegarder le système lui-même utilisé sans devoir redémarrer. Dans ce dernier cas de figure, le logiciel 'verrouille' le système et il est fortement recommandé de ne pas utiliser la machine pour d'autres tâches.
4.1 - Windows

4.1.1 - Gratuits

>> DrvClonerXP - Français

* Information, téléchargement et manuel : philou-traductions.fr/dnwld/systeme/DrvImager/DrvCloner.htm
* Compatible uniquement avec Windows 2000 et XP, ce freeware permet de cloner les partitions.


Attention ! Dans ce cas, ce n'est pas véritablement une image de partition (image 'ghost') qui est créée. Ce n'est plus de la sauvegarde préventive ! Ce type d'opération devient nécessaire lors d'un changement de disque dur si on veut éviter de transiter par une image de type ghost. En résumé, c'est ici du clonage direct.

>> Partition Saving - Français

* www.partition-saving.com/
* C'est un programme (anciennement nommé Savepart) qui tient sur une disquette et se pilote en ligne de commande DOS. Il reconnaît les systèmes de fichiers FAT et NTFS et est en français. La sauvegarde est zippée.



>> DriveImage XML - Français

* www.commentcamarche.net/telecharger/telecharger-34055109-driveimage-xml
* Ce logiciel ne peut que créer et restaurer des images de partitions Fat (12, 16, 32) et NTFS, à chaud, depuis Windows. Les images sont contenues dans des fichiers XML.
* Site source : www.runtime.org/dixml.htm
* Mise en pratique : www.clubic.com/article-83110-7-sauvegarde-restauration-image-ghost.html



>> Macrium Reflect

* Télécharger Macrium Reflect
* Faire une image de son système avec Macrium Reflect


4.1.2 - Payants

Malgré la disparition de Powerquest DriveImage (racheté par Norton), il existe toujours des alternatives payantes à Norton Ghost. Si malgré les précisions ci-dessous, vous hésitez à choisir, voici quelques avis sur ces logiciels sur minilien.com/?SsrEiFZ6hJ

>> Ghost (Symantec - Norton)

* La dernière version en français est disponible à partir du site Symantec francophone
* Tutoriels :
o Ghost 7 (même si cette version est désormais obsolète, ces tutoriels peuvent encore être intéressants) : monsite2.free.fr/karol/tuto/ghost.htm
o Ghost 8 (2003) : users.skynet.be/johnny666/Infos/Ghost/Ghost.html
* Manuels PDF : ftp.symantec.com/public/francais/produits/
* Tellement populaire que ce logiciel a donné son nom au concept 'd'image Système' ! Il est compatible Windows 98/ME/NT/2000/XP/Vista et reconnaît les systèmes de fichiers FAT, FAT32, NTFS, Ext2 et Ext3.
* Norton Ghost sait :
o Créer les images à chaud depuis Windows (sans devoir redémarrer),
o Créer des images incrémentales,
o Planifier les opérations de sauvegardes,
o Afficher et récupérer des fichiers et dossiers précis depuis une image,
o Compresser les images,
o Diviser les images afin de les faire contenir sur CD et DVD (Les tailles sont préécrites mais peuvent être redéfinies à volonté. Pour information, la taille prédéfinie pour un DVD de 4,7 Go n'est pas correcte. Abandonnez la taille de 4589 Mo pour descendre à 4480 ou 4470 Mo.),
o Affecter un mot de passe à l'image,
o Restaurer les images via un CD bootable.
* Une mine d'aide au dépannage sur Norton Ghost (via un forum tiers) sur minilien.com/?yx6ZNPgfbq
* Un conflit a été détecté entre Norton Ghost 9 et l'antivirus Kaspersky ! Après l'installation de l'antivirus, le redémarrage donne un écran bleu avec l'erreur STOP 0x0000009F DRIVER_POWER_STATE_FAILURE. D'après Kaspersky, l'origine vient de deux fichiers de Norton Ghost 9. Voir les détails du problème et de la solution dans la FAQ de Kaspersky : grandpublic.kaspersky.fr/index.php?PopShowID=568&HigLight=ghost



>> Acronis True Image (vendu en France par Micro Application)

* Les précédentes versions étaient localisées en français sous le nom de PC Cloneur.
* Le site officiel Acronis propose le téléchargement direct d'une version de démonstration (limitée à 15 jours) mais aussi l'achat de la licence. La version francophone y est accessible, ainsi qu'un manuel (format PDF) et un service de support.
* Micro Application propose également (pour le compte d'Acronis) la version Home (Attention : un décalage de version peut exister entre Micro Application et Acronis !) : www.microapp.com/logiciel_acronis_true_image_11_home_1093.html
* Ce logiciel sauvegarde 'à chaud' sous Windows (9x/ME/NT/2000/XP/Vista) avec possibilité de compression, de découpage de l'image en vue de graver des CD ou DVD. Il reconnaît les systèmes de fichiers FAT16, FAT32, NTFS, Ext2, Ext3 et ReiserFS. Non seulement, il est possible de planifier la sauvegarde mais aussi de faire une sauvegarde incrémentale. Seuls les fichiers modifiés ou nouveaux seront pris en compte depuis la sauvegarde précédente (gain de temps).
* La restauration peut s'effectuer de deux façons :
o Directement depuis le logiciel sous Windows ; en ce cas, un redémarrage sera nécessairement programmé pour restaurer la partition où est assis Windows.
o Grâce à un CD de démarrage préalablement créé.
* Voir aussi ce mini tutorial sur CCM : Acronis PC Cloneur Bootable Disc
* Une mine d'aide au dépannage sur PC Cloneur (via un forum tiers) sur minilien.com/?NMkDOZRQud
* Voir aussi ce cas de figure sous Windows 98 (problème puis solution) : PC Cloneur clonage et galère
* Veuillez aussi noter les deux points suivants :
o Certains PC ne peuvent être correctement (re)démarrés avec True Image, quelle que soit la méthode. Un problème de configuration non résolu ! Par conséquent, je vous recommande d'utiliser la version de démonstration dans le but de vérifier si votre ordinateur est réellement compatible avec True Image. Cependant, pour les versions enregistrées (donc légales), une simple mise à jour peut régler le problème.
o True Image permet de créer un 'Dépanneur au démarrage Acronis', situé dans une partition cachée (partition nommée 'Zone de sécurité Acronis' préalablement créée). Ce dépanneur est accessible dès l'allumage de la machine avec la touche <F11> et peut se révéler fort pratique dans certains cas. Cependant, ce dépanneur réécrit le Master Boot Record (MBR). Les utilisateurs de GNU/Linux devront peut-être placer Lilo ou Grub sur la racine de leur système open-source.



>> Perfect Image (Avanquest Software)

* Compatible pour Windows 2000/XP/Vista, ce shareware permet de créer 'à chaud' des images de partitions sur CD, DVD, supports USB 2 et d'un CD de boot.
* Il est possible de planifier les sauvegardes, de réaliser des images incrémentielles protégées ou non par mot de passe.
* Les images peuvent être compressées jusqu'à 40%.
* Voir http://shop.avanquest.com/...


4.2 - Linux

Ils sont tous gratuits et sont très souvent inclus dans les distributions Linux actuelles.

>> G4U

* www.feyrer.de/g4u/
* Il recopie bit pour bit l'ensemble de la partition, donc même l'espace vide, grâce à une disquette bootable. Il faut bien spécifier la partition à sauvegarder sous peine de prendre l'ensemble du disque dur. L'image est compressée à la volée (GZIP). Tous les systèmes de fichiers sont supportés puisque c'est une copie bit pour bit. L'interface est en mode texte.
* Notes en anglais et téléchargement : www.feyrer.de/g4u/
* Une version sous forme de LiveCD, donc autonome, existe. Téléchargez à partir du lien ci-dessus.
* La version LiveCD permet de fonctionner :
o en mode serveur (adresse IP à configurer).
o en mode client (pas d'adresse IP à configurer) plus adéquat pour une machine isolée.
* Une mine d'aide au dépannage sur G4U (via un forum tiers) sur minilien.com/?KwRH3iOa00
* Un petit tutoriel en français : www.adminrezo.net/index.php?2005/03/13/3-g4u-un-ghost-gratuit



>> KBackup

* kbackup.sourceforge.net/
* Une fois le logiciel installé sous Linux, il est possible de faire des sauvegardes planifiées et compressées tout en excluant éventuellement des fichiers (selon critères). Le paramétrage se fait en mode texte.



>> PartImage

* www.partimage.org/index.fr.html
* Manuel : linux.crdp.ac-caen.fr/Docs/partimage/t1.htm
* Conseils : www.brothersofnet.freesurf.fr/sans_popup/partimageinfo.html
* Ce logiciel sous Linux ne sauvegarde que les bits utilisés (contrairement à l'utilitaire 'dd') en compressant l'image et en la fractionnant éventuellement pour mieux la graver. L'interface est semi-graphique. Les systèmes de fichiers suivants sont reconnus : Ext2, Ext3, ReiserFS, HPFS, JFS, XFS, FAT16/32, UFS et HFS en bêta, NTFS en expérimental.
* Une mine d'aide au dépannage sur PartImage (via un forum tiers) sur minilien.com/?MRIJj1YXGg
* À titre préventif :
o Il est possible de cloner une partition en NTFS à la condition d'avoir préalablement défragmenté.
o Si la partition fait 12 Go d'origine, sa restauration fera aussi 12 Go. Même dans le cas d'une partition cible de plus grande taille. Il faudra donc passer par d'autres programmes pour redimensionner cette partition restaurée. Voir Partitionner
o Petit tutoriel en français : www.brothersofnet.freesurf.fr/sans_popup/partimageinfo.html



>> ntfsclone

* www.linux-ntfs.org/doku.php?id=ntfsclone
* Outils en ligne de commande pour cloner/ghoster des partitions NTFS uniquement. (Permet de palier le manque de support NTFS dans partimage.)
* Voir: Utiliser Knoppix comme CD de secours


5 - Solutions de secours

UltimateBootCD

* www.ultimatebootcd.com/
* www.soswindows.org/entretien-pc/boot2.htm
* www.libellules.ch/cdboot.php


C'est un CD bootable gratuit qui contient de fait plusieurs utilitaires dont entre autres G4U pour créer des images Système et Ranish Partition Manager pour partitionner.
SystemRescueCD

* www.sysresccd.org/index.fr.php
* www.framasoft.net/article1946.html


Voilà un autre CD bootable gratuit et en français qui contient plusieurs utilitaires. Entre autres : PartImage pour créer des images Système et QTParted pour partitionner.
CD LinuxLive

Beaucoup de CD de distributions LinuxLive peuvent permettre de créer une image système et de la restaurer. Citons dans ces distributions qui s'installent uniquement dans la mémoire vive (RAM) sans aucunement s'installer sur disque dur (d'où préservation des disques durs) :

* Knoppix (Voir en particulier l'article: Utiliser Knoppix comme CD de secours)
* Kaella Knoppix Linux Azur (KLA) (version francisée de Knoppix)
* SimplyMEPIS
* Slax
* AliXe (version francisée de Slax)
* Mandriva One


Deux tutoriels (un en PDF et l'autre au format natif OOo) sont disponible sur www.framasoft.net/article3552.html
6 - Sauvegarde de la MBR

Si vous avez plusieurs OS (Windows et Linux ou plusieurs Linux), il y a de fortes probabilités pour que vous désiriez sauvegarder la MBR. Rappelons que la MBR (Master Boot Record) est le premier secteur d'amorçage du disque dur. Dans le cas de plusieurs OS, un mini programme (de 512 octets maximums) permet de choisir l'OS.

Pensez avant tout à créer toutes vos disquettes de démarrage de secours pour chaque OS ;-))

Pour des informations complémentaires, voir : www.progzone.free.fr/basniveau/mbr/mbr.html

Sans oublier la définition sur : Partition - Partitionnement d'un disque dur
7 - Trucs et astuces sous Linux

Quelques tutoriels pour cloner et restaurer des partitions sous Linux :

* Des notes sur l'utilisation des commandes tar, cpio et dd : Pour rappel, ces trois commandes servent à la sauvegarde de données.
* tar : sauvegarde des fichiers avec leurs hiérarchies
* cpio : permet une sauvegarde régulière
* dd : crée une copie physique, bloc par bloc Lien 1 et Lien 2
* cp : permet de copier etna.int-evry.fr/COURS/UNIX/fichiers/man-fr-html/man1/cp.1.html
* Exemple pour faire une copie compressée :


dd if=/dev/sda | gzip -9 | dd of=/mnt/backup/mon_backup.dd.gz
ou
dd if=/dev/sda1 | gzip -9 | dd of=/mnt/backup/mon_backup-sda1.dd.gz
8 - Cloner sous MS-DOS

Vous désirez copier la totalité d'un disque dur vers un autre. Le nouveau disque dur est correctement formaté et partitionné (partition active).

* Démarrer (booter) sur la disquette de Windows 98 ou ouvrir une fenêtre MS-DOS (Menu Démarrer / Exécuter / command.com)
* Taper la commande suivante :

C:\WINDOWS\COMMAND\XCOPY32 c:\ d:\ /E /H /C /K /Y

o C est le disque source et D le disque cible.



Remarques :
> Notez que si vous voulez cloner la partition du système Windows, vous serez obligé de démarrer préalablement avec la disquette de Windows 98 afin de parvenir à copier l'intégralité de tous les fichiers ! Car rappelez-vous que les fichiers en cours d'utilisation ne seraient pas 'copiables'.
> Mais notez aussi que dans ce cas, la partition doit être en Fat ou Fat32 puisque le MS-DOS ne reconnaît pas les systèmes NTFS."

Comment faire une sauvegarde du disque C sur un disque amovible? [Résolu] - Le Forum de Génération Nouvelles Technologies

------question:
pour me protéger contre un plantage de disque dur de mon pc portable, j'ai acheté un disque dur 2"5, que j'ai formaté, et que j'ai mit dans un petit boitier externe, et je souhaiterai savoir si vous savez comment copier tous les fichiers de mon disque C: de façon à avoir une copie conforme de celui-ci sur mon autre disque, afin de pouvoir faire l'échange en cas de plantage du premier...

Est-ce posible, et comment y arriver, j'ai essayer tout bêtement de faire copier coller, et super copier me dit qu'il peut pas copier certains fichiers (surement fichiers systèmes)...

-------réponse:

il n'y a qu'une seule solution : le clonage

et il existe dans la nature deux logiciels qui excellent en ce domaine.

Si tu as tous les Windows, hors Vista, utilise Norton Ghost.
Si tu as Vista (n'importe lequel), utilise Acronis True Image.

Le clonage te permet tout a la fois d'être certain d'avoir une copie conforme de ton disque et de permettre, en cas de crash / virus / pertes de fichiers, de repartir avec la copie sur le disque initial (si les problèmes relèvent du software) ou sur un disque qui deviendra initial (si les problèmes relèvent du hardware)."

norton security

lancer sous yahoo
norton remove all

Disque dur Western Digital My Book USB 2.0

si on le reformate on perd le logiciel mac.

le logiciel PC de WD n'est qu'en demo!

De toute façon il faut bien réfléchir si on veut de la syncho ou du stockage pour liberer le dd pc , car la synchro n'est valable que pour celui qui veut emporter ses fichiers d'un ordi à l'autre pour continuer a travailler du bureau à chez lui par exemple a savoir que la synchro s'effectue dans les 2 sens si on efface sur le PC on efface aussi sur my book.
donc attention.
on peut synchroniser en supprimant l'option "Suppression automatique". D'ailleurs celle-ci est désactivée par défaut. Donc si on supprime un fichier sur son PC, celui-ci sera toujours sur son DDE !

Sinon pour les sauvegardes il suffit de passer par windows ou sur mac avec time machine.

-----
Memeo AutoSync vous permet d'effectuer des synchronisations entre les dossiers de vos ordinateurs, de vos clés USB, de vos disques durs, de vos lecteurs réseau et bien plus encore. Chaque fois que vous branchez votre périphérique ou que vous vous reconnectez à votre dossier réseau, les fichiers nouveaux et mis à jour sont automatiquement copiés dans les deux directions. Les dossiers et les documents renommés et supprimés de chaque côté sont répétés de l'autre côté, ce qui signifie qu'aucun fichier ne manquera dans aucun dossier. Le processus de synchronisation dans son ensemble est automatiquement bidirectionnel et symétrique.

Peu importe où se trouvent vos ordinateurs,Memeo AutoSync vous permet de synchroniser rapidement et simplement les dossiers sélectionnés, y compris le nombre exact de fichiers et de sous-dossiers ainsi que le contenu de ces dossiers. Par exemple, supposons qu'à la fin de votre journée de bureau vous vouliez continuer à travailler chez vous sur votre ordinateur personnel. Grâce à Memeo AutoSync, il vous suffit de brancher un périphérique mémoire et de le synchroniser avec les fichiers de travail voulus.

vendredi 8 mai 2009

Asus Eee Top : Test du Asus Eee Top par CNETFrance.fr

Asus Eee Top : Test du Asus Eee Top par CNETFrance.fr: "Test du Asus Eee Top
Après l’Eee Box, Asus décline une nouvelle fois son concept 'low cost' en proposant un PC tout-en-un façon iMac, l’Eee Top. Avec son écran tactile et son interface spécifique, l’Eee Top serait-il le PC idéal pour toute la famille ?

Sur le papier, l’Eee Top semble très séduisant. Son design recherché rappel les produits estampillés Apple et la configuration matérielle empruntée aux Netbooks de la marque permet de proposer ce Nettop autour des 500 euros. Mieux encore, en capitalisant sur un écran tactile et une surcouche logicielle dédiée, le constructeur taiwanais souhaite proposer la machine idéale pour attirer les plus jeunes comme les seniors réfractaires à l’informatique.

Mais concrètement, que peut attendre de cet Eee Top et quels usages peut-il couvrir ?

Un design abouti et une conception solide

Autant le dire tout de suite, l’Eee Top est un bel objet. L’inspiration iMac est certes très présente, mais l’Eee Top avec sa robe blanche ou noire, sa LED bleue et son capot transparent parvient à avoir sa propre personnalité. Le support en métal permet de régler l’inclinaison de la machine et offre une poignée pour le transport, sachant que le Nettop d’Asus pèse quand même 4.5 Kg. Il est possible de le fixer à un mur via un support compatible VESA (non fourni).



Avec son écran de 15.6 pouces, l’encombrement est restreint et l’Eee Top n’est pas beaucoup plus épais qu’un moniteur classique. Bien fini, il est aussi correctement équipé avec le clavier compact sans pavé numérique, une souris optique, le chargeur, les notices très succinctes, le chiffon pour nettoyer l’écran, les CD pour Windows XP et les applications de la surcouche tactile d’Asus, l’Eee Bar.

Mention spéciale pour le clavier, il est parfaitement coordonné à la machine et procure, malgré sa petite taille un réel confort dans la saisie.

Si compte tenu du prix, cette machine est bien conçue, quelques détails auraient pu être optimisés, comme le stylet logé dans la tranche du clavier. Un rangement directement dans l’écran aurait peut-être été plus intéressant.

Un écran tactile sensible, mais Windows XP n’est pas adapté

Pour ce type de desktop tactile, la qualité de l’écran a évidemment son importance. L’Eee Top profite d’une dalle de 15.6 pouces (format 16 :10) offrant une résolution de 1366 x 768 pixels. La résolution nous semble bien adaptée au concept en offrant des icônes suffisamment grandes pour pouvoir aisément cliquer dessus et suffisantes pour afficher une vidéo jusqu’à 720p. Dalle tactile oblige, le « maillage » ou revêtement tactile présent sur l’écran est parfois perceptible notamment lorsque l’on affiche une vidéo.

L’écran de l’Eee Top est précis et répond bien aux pressions du doigt ou du stylet, mais ne vous attendez pas à une expérience multitouch digne de l’iPhone ! La dalle n’est pas multipoint et elle ne reconnaîtra donc qu’une seule pression.


En pratique, vous pourrez cliquer ou double cliquer sur une icône pour la déplacer ou l’ouvrir, mais pour accéder au clique droit par exemple, il vous faudra rester appuyer quelques secondes sur l’écran. Pas forcément pratique.

Si nous sommes globalement positifs en ce qui concerne l’écran tactile, Windows XP ne remporte pas les mêmes suffrages. On le sait, le vénérable système d’exploitation n’est pas très adapté aux écrans tactiles et ceux qui ont déjà mis la main sur un Tablet PC ou un convertible sous XP savent de quoi il retourne. Dans l’environnement Windows, les facultés tactiles de l’Eee Top sont rapidement fastidieuses : le clique droit qui impose de rester appuyer sur l’écran, les modes de saisie peu efficaces comme la reconnaissance d’écriture, caractère par caractère qui est rédhibitoire ou le clavier virtuel tout juste satisfaisant pour taper une requête dans un moteur de recherche. Sous XP, difficile de se passer du clavier mécanique et de la souris, Windows 7 devrait être plus efficace.

Surcouche tactile intéressante, mais limitée

Pour épauler XP, Asus a judicieusement intégré une surcouche tactile, l’Eee Bar. Curieusement, si l’Eee Bar est bien présente, les applications n’étaient pas installées en natif, seul le CD etait fourni. Après une recherche infructueuse sur le site du constructeur, et en l’absence d’un lecteur optique intégré, il nous a fallu les installer via un lecteur DVD externe !

Grâce à cette surcouche adaptée à l’écran tactile, l’Eee Top prend tout son sens.
L’Easy mode reprend l’interface des premiers Eee PC sous Xandros et permet d’accéder facilement aux principales fonctionnalités. La navigation Web est confiée à un Opera optimisé pour le tactile et bien plus ergonomique qu’Internet Explorer, vous trouverez un client messagerie et messagerie instantanée et l’Eee Memo, un bloc-notes ludique.

L’application Eee Cinéma inspirée du Media Center de Microsoft vous donnera accès aux contenus multimédias sous forme d’un carrousel animé en 3D. À côté des jeux, des différents réglages et d’une application intéressante exploitant la Webcam (de mauvaise qualité au passage), la suite logicielle Star Office vous permettra même de travailler…


Avec ses menus simples et intuitifs, la surcouche logicielle d’Asus s’adresse en priorité aux jeunes ou aux seniors qui découvriront avec facilité les joies de l’informatique. Pour les autres, elle se montrera rapidement limitée. Gageons qu’Asus proposera de nouvelles applications pour étendre cette surcouche intéressante.

Une configuration de Netbook qui limite les usages

Avec une configuration de Netbook composée d’un processeur Intel Atom N270 à 1.6 GHz, d’un chipset graphique 945 GSE, de 1 Go de RAM et d’un disque dur de 160 Go, l’Eee Top ne fait pas de miracles. S’il est suffisamment armé pour couvrir la plupart des usages basiques (web, mail, unité de stockage, multimédia, traitement de texte) voire lire un film en 720p à l’occasion, inutile d’en espérer plus !
Pour autant cette configuration légère apporte certains avantages, un prix de vente plus doux, l’absence de bruit en fonctionnement et une consommation énergétique moindre.

Si l’Eee Top ne dispose pas de bloc optique, il intègre une connectique suffisamment riche permettant de recourir à un lecteur DVD externe. D’ailleurs, un onglet présent dans l’Eee Cinéma permettra de le gérer. Vous trouverez ainsi 7 prises USB (dont une sur le clavier), un port Ethernet, un lecteur de carte-mémoire, deux sorties audio jack 3.5 mm et une entrée micro. Asus n’a jugé utile d’intégrer une sortie vidéo type VGA, DVI ou HDMI, de même si on trouve une connexion Wi-Fi, le Bluetooth est absent.



En raison de ses limitations matérielles et en l’absence de bloc optique, L’Eee Top ne peut être un PC principal pour toute la famille. Il trouvera idéalement sa place dans la cuisine, dans la chambre du petit pour l’initier à l’informatique ou sur le bureau des seniors. Pour les autres, il sera surtout une borne d’accès à internet, une unité de stockage multimédia ou permettra d’écrire la liste des courses sur l’Eee Memo... L’Eee Top est un bel objet, le concept est séduisant, mais on se lasse rapidement des fonctionnalités tactiles peu exploitables sous XP et trop limitées sur l’Eee Bar.

Lire aussi le déballage et la prise en main de l'Asus Eee Top"

mercredi 6 mai 2009

[Functional neuroimaging (fMRI, PET and MEG): what...[Rev Med Liege. 2008 May-Jun] - PubMed Result

[Functional neuroimaging (fMRI, PET and MEG): what...[Rev Med Liege. 2008 May-Jun] - PubMed Result: "Rev Med Liege. 2008 May-Jun;63(5-6):231-7.Links
[Functional neuroimaging (fMRI, PET and MEG): what do we measure?]
[Article in French]

Gosseries O, Demertzi A, Noirhomme Q, Tshibanda J, Boly M, de Beeck MO, Hustinx R, Maquet P, Salmon E, Moonen G, Luxen A, Laureys S, De Tiège X.

Coma Science Group, Centre de Recherches du Cyclotron, Université de Liège, Belgique.

Functional cerebral imaging techniques allow the in vivo study of human cognitive and sensorimotor functions in physiological or pathological conditions. In this paper, we review the advantages and limitations of functional magnetic resonance imaging (fMRI), positron emission tomography (PET) and magnetoencephalography (MEG). fMRI and PET measure haemodynamic changes induced by regional changes in neuronal activity. These techniques have a high spatial resolution (a few millimeters), but a poor temporal resolution (a few seconds to several minutes). Electroencephalogram (EEG) and MEG measure the neuronal electrical or magnetic activity with a high temporal resolution (i.e., milliseconds) albeit with a poorer spatial resolution (i.e., a few millimeters to one centimeter). The combination of these different neuroimaging techniques allows studying different components of the brain's activity (e.g., neurovascular coupling, electromagnetic activity) with both a high temporal and spatial resolution."

Coupling between neuronal activity and microcircul...[HFSP J. 2008] - PubMed Result

Coupling between neuronal activity and microcircul...[HFSP J. 2008] - PubMed Result: "HFSP J. 2008 Apr;2(2):79-98. Epub 2008 Mar 18.Click here to read Links
Coupling between neuronal activity and microcirculation: implications for functional brain imaging.
Vanzetta I, Grinvald A.

In the neocortex, neurons with similar response properties are often clustered together in column-like structures, giving rise to what has become known as functional architecture-the mapping of various stimulus feature dimensions onto the cortical sheet. At least partially, we owe this finding to the availability of several functional brain imaging techniques, both post-mortem and in-vivo, which have become available over the last two generations, revolutionizing neuroscience by yielding information about the spatial organization of active neurons in the brain. Here, we focus on how our understanding of such functional architecture is linked to the development of those functional imaging methodologies, especially to those that image neuronal activity indirectly, through metabolic or haemodynamic signals, rather than directly through measurement of electrical activity. Some of those approaches allow exploring functional architecture at higher spatial resolution than others. In particular, optical imaging of intrinsic signals reaches the striking detail of approximately 50 mum, and, together with other methodologies, it has allowed characterizing the metabolic and haemodynamic responses induced by sensory-evoked neuronal activity. Here, we review those findings about the spatio-temporal characteristics of neurovascular coupling and discuss their implications for functional brain imaging, including position emission tomography, and non-invasive neuroimaging techniques, such as funtional magnetic resonance imaging, applicable also to the human brain."

Energy metabolism in astrocytes: high rate of oxid...[J Cereb Blood Flow Metab. 2007] - PubMed Result

Energy metabolism in astrocytes: high rate of oxid...[J Cereb Blood Flow Metab. 2007] - PubMed Result: "J Cereb Blood Flow Metab. 2007 Feb;27(2):219-49. Epub 2006 Jul 12.Click here to read Links
Energy metabolism in astrocytes: high rate of oxidative metabolism and spatiotemporal dependence on glycolysis/glycogenolysis.
Hertz L, Peng L, Dienel GA.

College of Basic Medical Sciences, China Medical University, Shenyang, People's Republic of China. lhertz@northcom.net

Astrocytic energy demand is stimulated by K(+) and glutamate uptake, signaling processes, responses to neurotransmitters, Ca(2+) fluxes, and filopodial motility. Astrocytes derive energy from glycolytic and oxidative pathways, but respiration, with its high-energy yield, provides most adenosine 5' triphosphate (ATP). The proportion of cortical oxidative metabolism attributed to astrocytes ( approximately 30%) in in vivo nuclear magnetic resonance (NMR) spectroscopic and autoradiographic studies corresponds to their volume fraction, indicating similar oxidation rates in astrocytes and neurons. Astrocyte-selective expression of pyruvate carboxylase (PC) enables synthesis of glutamate from glucose, accounting for two-thirds of astrocytic glucose degradation via combined pyruvate carboxylation and dehydrogenation. Together, glutamate synthesis and oxidation, including neurotransmitter turnover, generate almost as much energy as direct glucose oxidation. Glycolysis and glycogenolysis are essential for astrocytic responses to increasing energy demand because astrocytic filopodial and lamellipodial extensions, which account for 80% of their surface area, are too narrow to accommodate mitochondria; these processes depend on glycolysis, glycogenolysis, and probably diffusion of ATP and phosphocreatine formed via mitochondrial metabolism to satisfy their energy demands. High glycogen turnover in astrocytic processes may stimulate glucose demand and lactate production because less ATP is generated when glucose is metabolized via glycogen, thereby contributing to the decreased oxygen to glucose utilization ratio during brain activation. Generated lactate can spread from activated astrocytes via low-affinity monocarboxylate transporters and gap junctions, but its subsequent fate is unknown. Astrocytic metabolic compartmentation arises from their complex ultrastructure; astrocytes have high oxidative rates plus dependence on glycolysis and glycogenolysis, and their energetics is underestimated if based solely on glutamate cycling."

Optics InfoBase - Oxygen advection and diffusion in a three- dimensional vascular anatomical network

Optics InfoBase - Oxygen advection and diffusion in a three- dimensional vascular anatomical network: "Oxygen advection and diffusion in a three- dimensional vascular anatomical network

Qianqian Fang, Sava Sakadzic, Lana Ruvinskaya, Anna Devor, Anders M. Dale, and David A. Boas

Optics Express, Vol. 16, Issue 22, pp. 17530-17541 doi:10.1364/OE.16.017530

» View Full Text: Acrobat PDF (1054 KB) Open Access ISP Components Terms of Use | Get the ISP software

* OCIS Codes:
* (100.6890) Image processing : Three-dimensional image processing
* (180.6900) Microscopy : Three-dimensional microscopy

Citation
Qianqian Fang, Sava Sakadzic, Lana Ruvinskaya, Anna Devor, Anders M. Dale, and David A. Boas, 'Oxygen advection and diffusion in a three- dimensional vascular anatomical network,' Opt. Express 16, 17530-17541 (2008)
http://www.opticsinfobase.org/abstract.cfm?URI=oe-16-22-17530

* Virtual Issues
* Vol. 3, Iss. 12 Virtual Journal for Biomedical Optics
* Interactive Science Publishing (2008) Optics Express"

A new pathway for lactate production in the CNS — J Physiol

A new pathway for lactate production in the CNS — J Physiol: "A new pathway for lactate production in the CNS

1. Karl A. Kasischke1

+Author Affiliations

1.
1University of Rochester Medical Center, 601 Elmwood Avenue, Box 645, Rochester, NY 14642, USA Email: karl_kasischke@urmc.rochester.edu


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Lactate has long been considered to be a potentially damaging final metabolite of anaerobic glycolysis and has received little interest by neuroscientists. Interest in lactate began to increase with the demonstration of non-oxidative glucose consumption (i.e. glycolysis) in the activated brain by a landmark PET study (Fox et al. 1988). Numerous studies have since measured lactate with the consensus that sustained focal neural activity in the CNS is inevitably accompanied by an increase in extracellular lactate (Prichard et al. 1988; Mangia et al. 2007). In this context, Pellerin & Magistretti (1994) proposed that lactate may not be a metabolic dead-end product but rather the dominant oxidative substrate for neurons. The formulation of the astrocyte–neuron lactate shuttle hypothesis has generated tremendous interest in the cellular source and fate of lactate, to the point that ‘lactate’ has become a contentious term and is frequently associated with academic disputes. In this issue of The Journal of Physiology, Caesar et al. (2008) open a new perspective on the generation of extracellular lactate. As is often the case, this intriguing study advances the field but also raises more questions than it answers.

Since the original report by Pellerin & Magistretti, it has been widely assumed that lactate production takes place in astrocytes and is triggered by astrocytic glutamate transporters. In stark contrast to this view, Caesar et al. provide evidence that lactate production is the consequence of AMPA receptor activation. They report in vivo microdialysis measurements of extracellular lactate concentration in the molecular layer of rat cerebellum. These measurements are interpreted in the context of changes in cerebral blood flow, electrical activity, tissue oxygen tension and regional glucose utilization. The study design is straightforward: sustained climbing fibre stimulation at 5 Hz induces neural activity in Purkinje cells with a robust rise in extracellular lactate and a correlated rise in oxygen consumption in the molecular layer of the cerebellum. The effect of AMPA receptor blockade is investigated. According to the prevailing view that lactate production is triggered by astrocytic glutamate uptake, CNQX should have no effect. Surprisingly, climbing stimulation under CNQX did not lead to an observable rise in lactate. The wide-reaching conclusion is that lactate production in the cerebellar cortex is mediated by AMPA receptors rather than glutamate transporters. Importantly, Duan et al. (1999) have previously shown that CNQX has no effect on astrocytic glutamate uptake. Consequently, the proposed glutamate transporter-mediated pathway is left intact.

With the proposal of a glutamate transporter-independent pathway and the possibility of a postsynaptic site for lactate production, the paper by Caesar et al. provides a double challenge to the lactate shuttle hypothesis. Nevertheless, the authors overtly state that their study still respects the possibility of lactate production and shuttling from Bergmann glia to neurons. Indeed, AMPA receptors are present on both neuronal (Purkinje cells) and glial cells (Bergmann astrocytes) in the cerebellar cortex. Consequently, the current study which relies on CNQX blockade of AMPA receptors alone cannot answer the pressing question of whether lactate production is of neuronal or glial origin. Future studies using NASPM, an antagonist of Ca2+-permeable AMPA receptors expressed by Bergmann glia may clarify this issue.

While CNQX clearly abolishes transient lactate increases, it should be considered that CNQX essentially silences all measured responses in the cerebellar cortex with loss of electrical activity, the blood-flow response, tissue oxygen use and glucose uptake (Offenhauser et al. 2005; Caesar et al. 2008). This of course does not prove that all these processes are mediated by AMPA receptors. To effectively rule out (or verify) glutamate transporters as mediators of lactate secretion, direct manipulations of glutamate transporter activity or expression are necessary.

In contrast to previous studies (Hu & Wilson, 1997; Mangia et al. 2003) lactate dips during the early phase of neuronal activation were not observed. These discrepancies can always be attributed to divergent stimulus protocols. However, microdialysis measurements report only bulk changes in extracellular metabolites with limited temporal and spatial resolution, and rapid and localized metabolic events may be averaged out. Given the cellular and metabolic heterogeneity of nervous tissue on the micrometer scale (Fig. 1), measurements that directly resolve cellular responses (Kasischke et al. 2004) are ultimately required. A closer look at the cerebellar cortex may explain why: astrocytes and neurons are the principal structural elements in the molecular layer (Fig. 1A). Their processes are intimately associated in a convoluted, sometimes parallel spatial arrangement, implying that the distances for trans-cellular diffusion and transport between adjacent processes are appreciably shorter than the distances within a single cell (Fig. 1B). Astrocytic glutamate transporters are strongly expressed in the cerebellar cortex and they are perfectly positioned as a coupling site for neuron–glia interactions. In fact, astrocytic glutamate update sites ensheath Purkinje cells so tightly that their somas are delineated by a continuous EAAT2 band (Fig. 1C). The cellular distribution of cytochrome oxidase in the cerebellar cortex (Fig. 1D and E) implies that neuronal elements are profoundly oxidative, while the Bergmann glia exhibit considerably lower oxidative capacities, indirectly supporting the Pellerin & Magistretti model.

The study by Caesar et al. suggests an unexpected pathway for lactate production in the CNS and diverts our attention to AMPA-mediated events in Purkinje cells and Bergmann glia. It will be exciting to see whether future studies can directly identify the cellular origin of extracellular lactate and its ultimate fate.
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Footnotes

* 2008 The Authors. Journal compilation © 2008 The Physiological Society

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References

1. ↵
Caesar K et al. (2008). J Physiol 586, 1337–1349.
Abstract/FREE Full Text
2. ↵
Duan S et al. (1999). J Neurosci 19, 10193–10200.
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Fox PT et al. (1988). Science 241, 462–464.
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Hu Y & Wilson GS (1997). J Neurochem 69, 1484–1490.
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Kasischke KA et al. (2004). Science 305, 99–103.
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Mangia S et al. (2007). J Cereb Blood Flow Metab 27, 1055–1063.
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Mangia S et al. (2003). Neurosci 118, 7–10.
CrossRefMedlineISI
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Offenhauser N et al. (2005). J Physiol 565, 279–294.
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Pellerin L & Magistretti P (1994). Proc Natl Acad Sci U S A 91, 10624–10629.
10.
Prichard J et al. (1991). Proc Natl Acad Sci U S A 88, 5829–5831."

Glutamate receptor-dependent increments in lactate...[J Physiol. 2008] - PubMed Result

Glutamate receptor-dependent increments in lactate...[J Physiol. 2008] - PubMed Result: "Glutamate receptor-dependent increments in lactate, glucose and oxygen metabolism evoked in rat cerebellum in vivo.
Caesar K, Hashemi P, Douhou A, Bonvento G, Boutelle MG, Walls AB, Lauritzen M.

Department of Neuroscience and Pharmacology, University of Copenhagen, Copenhagen, Denmark.

Neuronal activity is tightly coupled with brain energy metabolism. Numerous studies have suggested that lactate is equally important as an energy substrate for neurons as glucose. Lactate production is reportedly triggered by glutamate uptake, and independent of glutamate receptor activation. Here we show that climbing fibre stimulation of cerebellar Purkinje cells increased extracellular lactate by 30% within 30 s of stimulation, but not for briefer stimulation periods. To explore whether lactate production was controlled by pre- or postsynaptic events we silenced AMPA receptors with CNQX. This blocked all evoked rises in postsynaptic activity, blood flow, and glucose and oxygen consumption. CNQX also abolished rises in lactate concomitantly with marked reduction in postsynaptic currents. Rises in lactate were unaffected by inhibition of glycogen phosphorylase, suggesting that lactate production was independent of glycogen breakdown. Stimulated lactate production in cerebellum is derived directly from glucose uptake, and coupled to neuronal activity via AMPA receptor activation."

grippe influenza A ( H1N1)

http://www.who.int/csr/disease/swineflu/en/index.html